L’espace des champs solitaires
M’appelle d’un silence conjurant
D’y reposer mon esprit cautère
Que mes pensées embrassent le vent
Des chemins minés de cratères
Aux tapis herbeux foisonnants
Mes deux roues abordent altières
Les obstacles, l’épingle des tournants
Racines et pierrailles séculières
Dans les pentes deviennent tourment
Souveraines elles crient : pied à terre
Ou embrasse le sol, imprudent !
Même après la boue des ornières
La Providence va m’agréant
Par le paisible écrin d’une clairière
Que mon souffle retrouve de l’allant
Tant d’alternances paysagères
Sculptent une joie d’adolescent
Invitent la fougue et le téméraire
À pousser la monture humblement
Le ciel du crépuscule s’affaire
Et de ses teintes d’oranges flamboyants
Sonne l’heure d’une route cantonnière
Plus facile pour rester admirant
Le visage extasié de Lumières
La descente en plaisir grisant
Esprit, Cœur, corps, unitaires
Entonnent de gratitude leur chant….
M’appelle d’un silence conjurant
D’y reposer mon esprit cautère
Que mes pensées embrassent le vent
Des chemins minés de cratères
Aux tapis herbeux foisonnants
Mes deux roues abordent altières
Les obstacles, l’épingle des tournants
Racines et pierrailles séculières
Dans les pentes deviennent tourment
Souveraines elles crient : pied à terre
Ou embrasse le sol, imprudent !
Même après la boue des ornières
La Providence va m’agréant
Par le paisible écrin d’une clairière
Que mon souffle retrouve de l’allant
Tant d’alternances paysagères
Sculptent une joie d’adolescent
Invitent la fougue et le téméraire
À pousser la monture humblement
Le ciel du crépuscule s’affaire
Et de ses teintes d’oranges flamboyants
Sonne l’heure d’une route cantonnière
Plus facile pour rester admirant
Le visage extasié de Lumières
La descente en plaisir grisant
Esprit, Cœur, corps, unitaires
Entonnent de gratitude leur chant….