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Roses au vent !

lilasys

Maître Poète
#1
Roses au vent !

Sous ce ciel aux nombreux orages,
Quand la pluie sombre le néant,
Vous les Roses, mes Roses au vent,
Etes à jamais le plus vil des mirages,

Tout usé était un présage,
Quand fauché comme les blés au champs,
oublié de mes chardons d'antan,
Ceux qui animaient mon paysage,

L'appel de nos campagnes, nos rivières,
Ou perdue dans la montagne certains jours,
Le regard posé sur le vol du vautour,
Ses ailes déployées sur mes prières,

Je m'enfuis, courbé dans les rizières,
Sous le poids de tous vos calembours,
O Dieu avez-vous toujours été sourd?
A mes maux sonnant la misère,

Les larmes n'ont de lieux ni de discours,
L'amour en veines des épines de Roses.

LILASYS





 

Venezio

Maître Poète
#2
Capture d'écran 2024-06-14 073847.png
Merci :)

Rose au vent...
Mais vent "guérisseur"
Source de votre talent
À dire les mots du Cœur
 

Luron2ème

membre du staff
#3
Proses souvent !

Pour ce miel aux nombreux messages,
Quand l’ennui s’échappe de ton néant,
Rejoue ta prose, ta prose souvent,
Toujours assortie à ton corps sage.


Mon musée n’est qu’un brassage,
Réchauffé et comblé par tes chants,
Avec tous les charbons de ton clan,
Ceux qui m’animaient en bon dosage,


La pelle pour ma compagne si fière,
Eperdue en ma montagne tous les jours,
Mes égards déposés sur le sol tout autour,
Actuelle employée, elle reste altière.


J’en déduis, plongé sous sa bannière,
Car des fois, encore, je cale en bourg,
Ho vieux, êtes-vous dans un faux bourg,
Pour mes mots sonnants en bandoulière.


Mes armes essaient le mieux dans ta cour,
L'humour en verve, je trépigne de ta prose.
 
Dernière édition:

lilasys

Maître Poète
#7
Proses souvent !

Pour ce miel aux nombreux messages,
Quand l’ennui s’échappe de ton néant,
Rejoue ta prose, ta prose souvent,
Toujours assortie à ton corps sage.


Mon musée n’est qu’un brassage,
Réchauffé et comblé par tes chants,
Avec tous les charbons de ton clan,
Ceux qui m’animaient en bon dosage,


La pelle pour ma compagne si fière,
Eperdue en ma montagne tous les jours,
Mes égards déposés sur le sol tout autour,
Actuelle employée, elle reste altière.


J’en déduis, plongé sous sa bannière,
Car des fois, encore, je cale en bourg,
Ho vieux, êtes-vous dans un faux bourg,
Pour mes mots sonnants en bandoulière.


Mes armes essaient le mieux dans ta cour,
L'humour en verve, je trépigne de ta prose.
Un retour aux bonnes manières !