Comme un buisson ardent, un feu divin,
La flamme de l'amour brûle en mon sein,
Donnant chaleur à mes nuits solitaires,
Donnant lumière à ma vie de misère.
Jamais je n'avais ressenti cela,
Une passion si vive et pourtant douce
Qui ne mon être ne partira pas,
Et en avant cette passion me pousse.
Ò ma Juliette, dis-moi que tu m'aimes.
Non, ne dis rien, ce ne sont pas les mêmes
Que le ressenti d'un coeur éperdu,
Les mots, je les ai déjà tous connus.
Montre-moi plutôt tes yeux de cristal.
Oh, Juliette, comme mon coeur s'emballe
Devant le miroir de ton âme éprise,
Et la flamme de l'amour ils attisent.
La flamme de l'amour brûle en mon sein,
Donnant chaleur à mes nuits solitaires,
Donnant lumière à ma vie de misère.
Jamais je n'avais ressenti cela,
Une passion si vive et pourtant douce
Qui ne mon être ne partira pas,
Et en avant cette passion me pousse.
Ò ma Juliette, dis-moi que tu m'aimes.
Non, ne dis rien, ce ne sont pas les mêmes
Que le ressenti d'un coeur éperdu,
Les mots, je les ai déjà tous connus.
Montre-moi plutôt tes yeux de cristal.
Oh, Juliette, comme mon coeur s'emballe
Devant le miroir de ton âme éprise,
Et la flamme de l'amour ils attisent.