RENDEZ-VOUS GALANT
Mon ami Pierrot pleure des larmes de cristal,
Car il a perdu sa plume de verre opale,
Au clair de lune, il t’écrira ses plus beaux poèmes d’amour,
Amour qui rime avec toujours,
A celle à qui il avait donné rendez-vous,
Sur la jetée à la tombée de la nuit,
C’est vrai qu’il l’aime comme un fou,
Il aimerait qu’elle ne jure que par lui.
Il l’invite à un dîner galant,
Sur la terrasse bord de mer,
Sous les cubulots qui réchauffent l’hiver,
Il lui tient la main nonchalant,
Plus tard, ils marcheront dans les dunes,
Pour apprendre à mieux se connaître,
Une lumière tamisée fait briller leurs yeux,
Leur dîner s’éternisera jusqu’au clair de lune,
Dans la nuit bleue, ils forment deux êtres,
Qui apprennent le bonheur d’être deux,
Comme pour la remercier, il embrasse ses mains,
Si douces qu’il fut pris au dépourvu.
Puis ils s’enlacent dans un ultime baiser,
Chaud et langoureux dans la froidure de l’hiver,
Profitant de ce moment d’intimité venue,
Il ouvre son cœur grand ouvert,
Et l’invite dans un hôtel connu,
Qu’elle refuse dans un geste de candeur,
Car ce n’est ni le moment, ni l’heure ;
Il comprend qu’elle soit un peu émue,
Remet leur idylle à un prochain rendez-vous,
Il l’embrasse avec ferveur ses lèvres menues,
Au rythme de la mer qui joue,
La musique d’un nouveau bonheur…
Mon ami Pierrot pleure des larmes de cristal,
Car il a perdu sa plume de verre opale,
Au clair de lune, il t’écrira ses plus beaux poèmes d’amour,
Amour qui rime avec toujours,
A celle à qui il avait donné rendez-vous,
Sur la jetée à la tombée de la nuit,
C’est vrai qu’il l’aime comme un fou,
Il aimerait qu’elle ne jure que par lui.
Il l’invite à un dîner galant,
Sur la terrasse bord de mer,
Sous les cubulots qui réchauffent l’hiver,
Il lui tient la main nonchalant,
Plus tard, ils marcheront dans les dunes,
Pour apprendre à mieux se connaître,
Une lumière tamisée fait briller leurs yeux,
Leur dîner s’éternisera jusqu’au clair de lune,
Dans la nuit bleue, ils forment deux êtres,
Qui apprennent le bonheur d’être deux,
Comme pour la remercier, il embrasse ses mains,
Si douces qu’il fut pris au dépourvu.
Puis ils s’enlacent dans un ultime baiser,
Chaud et langoureux dans la froidure de l’hiver,
Profitant de ce moment d’intimité venue,
Il ouvre son cœur grand ouvert,
Et l’invite dans un hôtel connu,
Qu’elle refuse dans un geste de candeur,
Car ce n’est ni le moment, ni l’heure ;
Il comprend qu’elle soit un peu émue,
Remet leur idylle à un prochain rendez-vous,
Il l’embrasse avec ferveur ses lèvres menues,
Au rythme de la mer qui joue,
La musique d’un nouveau bonheur…