Il est temps de plier bagages
d'aller vers d'autres paysages
sans plumes,sans messages
juste composer d'autres rivages
j'en ai marre de ces yeux sages
qui scrutent mon visage
porteurs de mauvais présages
prenez vos clés,je sors de ma cage
des chemins d'errance qu'on envisage
partir à l'aventure,partir en voyage
malgré l'éclair et les orages
renaître ailleurs,songe d'un autre village
suivre la route,suivre un autre sillage
quelque soit le labeur,quelque soit l'adage
juste donner un sens à cette rage
qui m'habite tel un cyclone à la nage
j'ai tissé des rêves sans rêves ô mirage
le miroir me renvoie mes défaites d'âge
que m'importe vos richesses,vos échanges
je veux à mon être changer d'image
tout s'en va comme ces saisons qu'on longe
l'homme cupide et gueux oublie l'étalage,
l'oiseau est son bel ,est fin le ramage
quand sonne le glas aux parages
la femme ou l'homme ils te changent
la décision d'un ailleurs idyllique sans visage
m'a visitée dans le sommeil des anges sages
un voeux longtemps caché dans mon corsage
je le réaliserai avec force quitte à prendre un virage.
le vrai bonheur n'est guère dans l'or des voilages
aime,le plaisir des choses faciles sans nuages
je me sauve au loin vers mes chers paysages
j'ouvre mes bras ,perplexe,l'aube rose me dévisage
suis-je transformée,au passé de mes images
mon coeur garde à jamais son tatouage
comme un beau et heureux coquillage
son océan est si haut;sont douces ses plages
à la vie ,à la mort ici sera mon sarcophage.
d'aller vers d'autres paysages
sans plumes,sans messages
juste composer d'autres rivages
j'en ai marre de ces yeux sages
qui scrutent mon visage
porteurs de mauvais présages
prenez vos clés,je sors de ma cage
des chemins d'errance qu'on envisage
partir à l'aventure,partir en voyage
malgré l'éclair et les orages
renaître ailleurs,songe d'un autre village
suivre la route,suivre un autre sillage
quelque soit le labeur,quelque soit l'adage
juste donner un sens à cette rage
qui m'habite tel un cyclone à la nage
j'ai tissé des rêves sans rêves ô mirage
le miroir me renvoie mes défaites d'âge
que m'importe vos richesses,vos échanges
je veux à mon être changer d'image
tout s'en va comme ces saisons qu'on longe
l'homme cupide et gueux oublie l'étalage,
l'oiseau est son bel ,est fin le ramage
quand sonne le glas aux parages
la femme ou l'homme ils te changent
la décision d'un ailleurs idyllique sans visage
m'a visitée dans le sommeil des anges sages
un voeux longtemps caché dans mon corsage
je le réaliserai avec force quitte à prendre un virage.
le vrai bonheur n'est guère dans l'or des voilages
aime,le plaisir des choses faciles sans nuages
je me sauve au loin vers mes chers paysages
j'ouvre mes bras ,perplexe,l'aube rose me dévisage
suis-je transformée,au passé de mes images
mon coeur garde à jamais son tatouage
comme un beau et heureux coquillage
son océan est si haut;sont douces ses plages
à la vie ,à la mort ici sera mon sarcophage.
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