Reconnections matinales
Chaque matin je dois reconnecter ma cervelle,
Les réseaux de mes neurones ont dû beuguer,
Mes bulbes rachidiens devraient être largués à la poubelle,
Mon centre de compréhension à durant la nuit été rachitiquisés…
Je me goure mettant les fils rouges sur la borne bleue
Faisant ainsi sauter mes plombs intelligentiels,
Une sonnerie d’alerte hurle à qui mieux mieux :
« Veuillez incérer le câble de votre intelligence artificielle,
Attendez la vérification de votre identification,
Sinon prenez un triple café bien serré,
Patientez le temps de votre authentification
Où si la connexion a échouée, allez vous recoucher. »
Bref, j’ai beau m’époumoner gueulant que je n’ai pas d’IA,
Que celle la me gonfle et me burine l’épiderme
Mais, récidives de ces « veuillez incérer le câble » et cætera
Et moi de vociférer et de hurler « la ferme » !
De Diou ! il me faut plus d’une heure avant d’immerger
Et je me traine comme un gastéropode paralytique,
Mon hypophyse et mes méninges totalement atrophiés
Suis dans un état larvaire, léthargique et pathétique…
J’ai songé à une solution : ne plus dormir
Ainsi je n’aurais aucun mal à me réveiller…
Ou alors tout bonnement mourir
Afin de ne plus avoir à me lever !
Les réseaux de mes neurones ont dû beuguer,
Mes bulbes rachidiens devraient être largués à la poubelle,
Mon centre de compréhension à durant la nuit été rachitiquisés…
Je me goure mettant les fils rouges sur la borne bleue
Faisant ainsi sauter mes plombs intelligentiels,
Une sonnerie d’alerte hurle à qui mieux mieux :
« Veuillez incérer le câble de votre intelligence artificielle,
Attendez la vérification de votre identification,
Sinon prenez un triple café bien serré,
Patientez le temps de votre authentification
Où si la connexion a échouée, allez vous recoucher. »
Bref, j’ai beau m’époumoner gueulant que je n’ai pas d’IA,
Que celle la me gonfle et me burine l’épiderme
Mais, récidives de ces « veuillez incérer le câble » et cætera
Et moi de vociférer et de hurler « la ferme » !
De Diou ! il me faut plus d’une heure avant d’immerger
Et je me traine comme un gastéropode paralytique,
Mon hypophyse et mes méninges totalement atrophiés
Suis dans un état larvaire, léthargique et pathétique…
J’ai songé à une solution : ne plus dormir
Ainsi je n’aurais aucun mal à me réveiller…
Ou alors tout bonnement mourir
Afin de ne plus avoir à me lever !