Je suis assis devant les graffitis de ma vie ou le mur de ma vison angoisse les rêves de mes couleurs
Seuls aux pinceaux de mon imaginaire je deviens toile blanche a la solitude de mon cœur
Au senti de mon cadre humain se tiennent les mains de mon amitié
Assis sur le banc des pauvres ce trouve mon amour sculpté dans le bois de son oublie
À l’invisible de mes sentiments ce trouve l’esprit de mon amour, a son écoute ce trouve son verbe
Je pleure sur le miroir de mon reflet ou mon regard est brume de sa solitude
Au silence du temps, j’attends le sol de mon cœur qui résonne sur la terre de mes peurs
Âme de l’invisible envoute-moi la liberté de ton corps que sois lumière d’une fusion
Je suis la goutte d’une vie qui a perdu l’océan de son horizon et l’espoir en est ma profondeur
À la moisson des saisons je suis culture d’un temps sans vents pour consoler son avoir
Je voudrais être fleur pour sentir que mon corps est parfum de désirs
Histoire au dos de mes maux deviens chair que je me sente humain de ta peau
Fantôme du temporel brule mon enveloppe pour que mes sois nuit de ton contenu
Le mal est une note entre deux temps, et la musique en contient la clé de sol de son évasion
Je suis un temps d’ombre qui passe au son de la lumière, dont les couleurs en seront les forment de mon gêne, a la fusion des astres je serais enveloppe aux cieux de la mémoire, dans l’esprit des signes je serais corps céleste d’une étoile oubliée
Au tétra de mon énergie mon esprit naitra aux pixels des Bgammas, aux courants des nanos frisonnes l’ADN de la vie, et la mort de son évasion en sera l’alchimie sa galaxie. À l’atome de mes molécules sans nuages la clé de ma liberté dans la pluie acide où coule la soif de mon être
Au toit de ma paix ce trouve la solitude d’un feu qui brule les sentiments mes vœux
Assis sur la roche de la peur au regarde de mes mains, espoir en sera pierre de mon chemin et route en sera culture de mon courage sans rage aux champs de ma récolte
Dans la mer se trouve la profondeur de l’histoire et l’homme en devient vagues
Je suis que mots sans langues pour en partager la parole d’un verbe
Dans la chaleur de mon âme sans chaleur au destin meurt la solitude de mon hasard
Aux croyances s’en terrent les récoltes des cultures, couchées sur l’horizon de l’ignorance
Ou ce trouve mes pleures sans larmes la goutte du senti de mon cœur
Égarer dans les pages de ma vie je deviens fautes de mon titre, sans textes pour en partager mon histoire, seul aux mots de mon index mon livre ne sait pas épanoui.
Libre de mon virus deviens mon anticorps que je sois évolution de ta chimie
Laisse-moi être eau de ton corps pour partager l’oxygène de ta vie
Étoiles qui brillent aux vœux des sans frontières guide moi ton désir que je sois nuit de toi
Sur la toile de mon ombre se trouve la création de mon imaginaire qui peint l’art de ma nature
Aux murs des silences se trouvent les pinceaux de l’envie de la liberté de ma lumière
À la création des formes de l’oublie fusionnent l’abstrait de mon espoir
Évasion aux regards de l’ignorance de ma peinture, coule la valeur ma solitude
À la galerie de mon temps sans guichet pour mon amitié s’évade le paysage de mon âme
Seul sur la fenêtre des étoiles sans galaxies à mes vœux meurt le désir de mon coeur
Asi sur la chaise du destin le hasard me berce sur la porte des maux
Sans passages pour l’écho de mon être au sol de l’avoir de mon esprit la peur danse sur le plancher de son évasion
À la vision du futur je voudrais passé du souvenir pour me rappeler de la mémoire de la vie
À l’Ar en ciel de mon jour, prête-moi ta nuit que je sente la lune de ton amour
Je suis une lettre sans correspondante qui sans chaine sur un sujet d’Être, sans texte pour partager son avoir.
Aux vents des enveloppes s’envolent les feuilles de mes mots, seuls au destin de sa lecture, sans livre pour en partager ses saisons
Au nu de ma page ce trouve l’esprit de mon temps, au senti de son histoire elle devient corps
Aux os de mes maux vagues, les douleurs de mon cœur et le désir en soulagent ses mémoires
Au regard du miroir de mon âme se trouve le reflet de ma peine, seul avec la glace de son entité
Verbe aux souvenirs des rêves qui dors sans paroles sur le chevet de ma solitude, hante-moi ta lumière sur un espace-temps du bonheur
Au foetus de ma chair se trouve le cordon bilucal de mes cries, étouffé dans l’aurore de son saint
Jugement de la solitude qui tient l’étoile du pardon, envoute-moi le désir de ta paix
Prête-moi ton point, que je puisse être phrase de ton contenu
Berceau des signes aux cieux des Dieux de l’homme, aux vents des âmes ombre moi ton ciel que je sente ta liberté devenir nuits de mon lit
Je suis une main entrelacée dans des doigts sans caresses seul aux sangs cœurs, de sa vieillesse
Au corps céleste de son chemin elle prend forme de sentiments qui transpirent sur la chair de son oublie.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 7/25/2008 20 h 25 min 42 s
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
Seuls aux pinceaux de mon imaginaire je deviens toile blanche a la solitude de mon cœur
Au senti de mon cadre humain se tiennent les mains de mon amitié
Assis sur le banc des pauvres ce trouve mon amour sculpté dans le bois de son oublie
À l’invisible de mes sentiments ce trouve l’esprit de mon amour, a son écoute ce trouve son verbe
Je pleure sur le miroir de mon reflet ou mon regard est brume de sa solitude
Au silence du temps, j’attends le sol de mon cœur qui résonne sur la terre de mes peurs
Âme de l’invisible envoute-moi la liberté de ton corps que sois lumière d’une fusion
Je suis la goutte d’une vie qui a perdu l’océan de son horizon et l’espoir en est ma profondeur
À la moisson des saisons je suis culture d’un temps sans vents pour consoler son avoir
Je voudrais être fleur pour sentir que mon corps est parfum de désirs
Histoire au dos de mes maux deviens chair que je me sente humain de ta peau
Fantôme du temporel brule mon enveloppe pour que mes sois nuit de ton contenu
Le mal est une note entre deux temps, et la musique en contient la clé de sol de son évasion
Droit d'auteur composé par Marc Cantin Montréal 7/15/2008 2 h 22 min 56 s
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
::::::::::::::::::………………….. ::::::::::::::::::…………………..::::::::::::::::::…………………..::::::::::::::::::
Je suis un temps d’ombre qui passe au son de la lumière, dont les couleurs en seront les forment de mon gêne, a la fusion des astres je serais enveloppe aux cieux de la mémoire, dans l’esprit des signes je serais corps céleste d’une étoile oubliée
Au tétra de mon énergie mon esprit naitra aux pixels des Bgammas, aux courants des nanos frisonnes l’ADN de la vie, et la mort de son évasion en sera l’alchimie sa galaxie. À l’atome de mes molécules sans nuages la clé de ma liberté dans la pluie acide où coule la soif de mon être
Au toit de ma paix ce trouve la solitude d’un feu qui brule les sentiments mes vœux
Assis sur la roche de la peur au regarde de mes mains, espoir en sera pierre de mon chemin et route en sera culture de mon courage sans rage aux champs de ma récolte
Dans la mer se trouve la profondeur de l’histoire et l’homme en devient vagues
Je suis que mots sans langues pour en partager la parole d’un verbe
Dans la chaleur de mon âme sans chaleur au destin meurt la solitude de mon hasard
Aux croyances s’en terrent les récoltes des cultures, couchées sur l’horizon de l’ignorance
Ou ce trouve mes pleures sans larmes la goutte du senti de mon cœur
Égarer dans les pages de ma vie je deviens fautes de mon titre, sans textes pour en partager mon histoire, seul aux mots de mon index mon livre ne sait pas épanoui.
Libre de mon virus deviens mon anticorps que je sois évolution de ta chimie
Laisse-moi être eau de ton corps pour partager l’oxygène de ta vie
Étoiles qui brillent aux vœux des sans frontières guide moi ton désir que je sois nuit de toi
Droit d'auteur composé par Marc Cantin7/11/2008 4 h 56 min 32 s
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
::::::::::::::::::………………….. ::::::::::::::::::…………………..::::::::::::::::::…………………..
Je suis la raison de la couleur blanche, je suis la raison de la couleur Noir qui se mélange aux cadres du nu, du jugement
Sur la toile de mon ombre se trouve la création de mon imaginaire qui peint l’art de ma nature
Aux murs des silences se trouvent les pinceaux de l’envie de la liberté de ma lumière
À la création des formes de l’oublie fusionnent l’abstrait de mon espoir
Évasion aux regards de l’ignorance de ma peinture, coule la valeur ma solitude
À la galerie de mon temps sans guichet pour mon amitié s’évade le paysage de mon âme
Seul sur la fenêtre des étoiles sans galaxies à mes vœux meurt le désir de mon coeur
Asi sur la chaise du destin le hasard me berce sur la porte des maux
Sans passages pour l’écho de mon être au sol de l’avoir de mon esprit la peur danse sur le plancher de son évasion
À la vision du futur je voudrais passé du souvenir pour me rappeler de la mémoire de la vie
À l’Ar en ciel de mon jour, prête-moi ta nuit que je sente la lune de ton amour
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 7/22/2008 18 h 26 min 50 s
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr
::::::::::::::::::………………….. ::::::::::::::::::…………………..::::::::::::::::::…………………..
Je suis une lettre sans correspondante qui sans chaine sur un sujet d’Être, sans texte pour partager son avoir.
Aux vents des enveloppes s’envolent les feuilles de mes mots, seuls au destin de sa lecture, sans livre pour en partager ses saisons
Au nu de ma page ce trouve l’esprit de mon temps, au senti de son histoire elle devient corps
Aux os de mes maux vagues, les douleurs de mon cœur et le désir en soulagent ses mémoires
Au regard du miroir de mon âme se trouve le reflet de ma peine, seul avec la glace de son entité
Verbe aux souvenirs des rêves qui dors sans paroles sur le chevet de ma solitude, hante-moi ta lumière sur un espace-temps du bonheur
Au foetus de ma chair se trouve le cordon bilucal de mes cries, étouffé dans l’aurore de son saint
Jugement de la solitude qui tient l’étoile du pardon, envoute-moi le désir de ta paix
Prête-moi ton point, que je puisse être phrase de ton contenu
Berceau des signes aux cieux des Dieux de l’homme, aux vents des âmes ombre moi ton ciel que je sente ta liberté devenir nuits de mon lit
Je suis une main entrelacée dans des doigts sans caresses seul aux sangs cœurs, de sa vieillesse
Au corps céleste de son chemin elle prend forme de sentiments qui transpirent sur la chair de son oublie.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 7/25/2008 20 h 25 min 42 s
Recherche éditeur marccantin videotron ca
Mon site perso xp2003 free fr