Obligée de te taire, revient debout pour le vieux…
Il y a des signes d’envie qui se meuvent pour ne pas taire ce festin,
Aimez, vous dégommerez celle qui rayonne et se paume dès demain,
Elle n’a pas de bride, profondes elle creuse l’effroi de ses vers,
Parfois défaite, ses instants deviennent une prose première.
Ce préfixe carmin, fait qu’elle soit si particulière,
Le déport de ses pieds apporte l’envoi à tous de se dépêcher,
Dis-toi qui délave, discute en avec beaucoup d'éloquence,
Et je m'empresse pour celle fait de sa vie nouvelle chance.
Mais dites-moi, nouvelle gauloise, pourquoi ce délire et ces cris ?
Puisque on peut arranger ce que les yeux font de nos envies,
Tu flottes et demain, tu te vautres au fond de toi et t’avance,
Tu t’es défraîchis à te taire, repars bien debout et devances.
Retrouve mon paradis, prend le comme un purgatoire bien réel,
En devenant le maître de ce vieux qui te dévie du fiel,
Ai-je tâté un code ou par la finition de simples maux à l’aspect d’humour,
Devient-on des croûtons à croire tous les on-dit des faubourgs.
C'est le paradis qui détend et vient à moi, ton empire, ici,
Mais je lance beaucoup, je suis un peu camé, mais pourquoi ?
Pour pouvoir t’adosser quelque part ou ne résonne aucun mal de foie,
Toutes ces émotions, parce que un jour une femme a jeté un grand cri.
Il y a des signes d’envie qui se meuvent pour ne pas taire ce festin,
Aimez, vous dégommerez celle qui rayonne et se paume dès demain,
Elle n’a pas de bride, profondes elle creuse l’effroi de ses vers,
Parfois défaite, ses instants deviennent une prose première.
Ce préfixe carmin, fait qu’elle soit si particulière,
Le déport de ses pieds apporte l’envoi à tous de se dépêcher,
Dis-toi qui délave, discute en avec beaucoup d'éloquence,
Et je m'empresse pour celle fait de sa vie nouvelle chance.
Mais dites-moi, nouvelle gauloise, pourquoi ce délire et ces cris ?
Puisque on peut arranger ce que les yeux font de nos envies,
Tu flottes et demain, tu te vautres au fond de toi et t’avance,
Tu t’es défraîchis à te taire, repars bien debout et devances.
Retrouve mon paradis, prend le comme un purgatoire bien réel,
En devenant le maître de ce vieux qui te dévie du fiel,
Ai-je tâté un code ou par la finition de simples maux à l’aspect d’humour,
Devient-on des croûtons à croire tous les on-dit des faubourgs.
C'est le paradis qui détend et vient à moi, ton empire, ici,
Mais je lance beaucoup, je suis un peu camé, mais pourquoi ?
Pour pouvoir t’adosser quelque part ou ne résonne aucun mal de foie,
Toutes ces émotions, parce que un jour une femme a jeté un grand cri.
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