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rappelles toi : Avez-vous besoin d'humour Madame ?

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Avez-vous besoin d'humour Madame ?

J'ai couvert ses soupières, oh, si je lance,
Décroisé ses bas, face au bide de mes mots,
Fait de mes lignes en choix qu’endure ta chance,
Ce n'est qu'une goutte qui déchaîne tes maux.

J'ai désigné ta tendresse imagée de soupires,
Créé l’envie pour ceux sans dépenser mes loisirs,
C'est la science des aînés qui veulent choir en bonheur,
Je pourrais sans que ta chaîne ici s’égare comme du beurre.

M'étendre sans maudire que l’envie revienne,
Et lire toutes les fleurs qui aussi lui parviennent,
Qu'exporte le miel et nous tendrons vers le grand âge,
Dans le peu de nos débats l'un vers l'autre et chantons notre ouvrage.

Tout peut s’échanger en anguilles que démontre l’instant,
Toute sempiternelle envie peut faire dévier et chavirer les savants,
Ma devanture recommence par des gouttes de sueur,

Elles sont la puissance de mes écrits que je dépensais en pleurs.
 

lilasys

Maître Poète
#2
A l'ombre du silence

J'ai couvert ses soupières, oh, si je lance,
Décroisé ses bas, face au bide de mes mots,
Fait de mes lignes en choix qu’endure ta chance,
Ce n'est qu'une goutte qui déchaîne tes maux.


J'ai fermé les paupières à cette dite lance
Froissé des pages blanches, indignes de mes maux
Dessiné une terre libre où ne tranche la souffrance
Un torrent qui ne trouve plus que la mélodie du ruisseau


J'ai désigné ta tendresse imagée de soupires,
Créé l’envie pour ceux sans dépenser mes loisirs,
C'est la science des aînés qui veulent choir en bonheur,
Je pourrais sans que ta chaîne ici s’égare comme du beurre.


J'ai dormi sous la couette à travers les souvenirs
Envolée dans les écouteurs, je danse à ne plus jamais mourir
Les mains gravées d'henné sans soumission ni peur
Suivre le sentier, là où les feuilles caressent mon heure


M'étendre sans maudire que l’envie revienne,
Et lire toutes les fleurs qui aussi lui parviennent,
Qu'exporte le miel et nous tendrons vers le grand âge,
Dans le peu de nos débats l'un vers l'autre et chantons notre ouvrage.


Les cent pas pour le sourire d'une soi-disant souveraine
Des champs à perte de vue encore s'en souviennent
Les ruches en perdition feront naître, un jour le sage
Nul n'est maestro de sa vie, nul de son courage!


Tout peut s’échanger en anguilles que démontre l’instant,
Toute sempiternelle envie peut faire dévier et chavirer les savants,

Ma devanture recommence par des gouttes de sueur,
Elles sont la puissance de mes écrits que je dépensais en pleurs.


La morsure d'une vive paralyse du pied au firmament
Quel être suis-je dont pour être en place de charlatans
La grève aspire les idées noires et caresse l'humeur
Qui peut prétendre s'aimer si on signe l'horreur ....


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luron1er

Administrator
Membre du personnel
#3
Tu vois, ça marche, le pastiche du pastiche qui est déjà un pastiche....
un petit rappel du 1er texte :
Avez- vous besoin d'amour Monsieur ?

J'ai ouvert les paupières au silence
Croisé mes bras face au vide des mots
Fait des signes de croix sur cette dure existence
Qui n'est qu'une poutre de chêne sur mon dos

J'ai dessiné tes caresses imaginé tes sourires
Inventé une vie à deux sans penser aux souvenirs
C'est l'insoucience d'une adolescente qui veut croire au bonheur
Je voudrais tant que ce capitaine s'amarre à mon coeur

L'entendre me dire que sa vie est mienne
Lui dire que mes heures à lui seul appartiennent
Qu'importe le ciel nous n'entendrons plus les orages
Dans le creux de nos bras l'un et l'autre vivrons notre voyage

Rien ne peut changer les aiguilles de la montre du temps
Seule cette mortelle peut faire dévier le navire des vivants
Mais l'aventure commence avec des doutes des peurs
Elles sont des nuisances dans mon esprit que je pensais en fleur .

LILASYS ... (2014)