hors concours
Rêverie printanière...
Soleil au zénith ! et mon âme s'égare parmi ses lueurs,
J''imagine les granges du royaume où vit l'oiseau bleu,
Monde de licornes et de chevaux aux robes immaculées,
Où, une roulotte tirée par de superbes ânes gris argenté,
M'emporterait vers une rivière illuminée par les yeux
De ce dieu Amour, qui d'un geste, tel celui des semeurs,
Inonderait l'éther évanescent, de jolies fleurs odorantes
Aux corolles diaprées et parfums envoûtants, mais aussi,
Un vent de papillons aux ailes légères et tons de velours...
J'imagine le ciel du soir dépliant ses merveilleux atours,
Auréolant en couronne d'or, la chevelure d'un ange ravi,
Un coucher de soleil sur une forêt d'arbres frissonnante...
Répandant une ombre titanesque sur les foins terrestres,
Où, paisibles, s'endormiraient des hommes de bonne foi,
Espérant encore trouver ce divin refuge irisé de baisers.
Je cherche ce pont Jeunesse, menant à la porte cachée
Du monde imaginaire, voilée par des foulards de soie...
Sans le hasard, un jour, en osmose avec l'azur céleste,
J'irais vers la liberté, délivrée de ce corps usé par les ans,
J'y retrouverai tous ceux qui partagèrent ma vie d'antan...
Rêverie printanière...
Soleil au zénith ! et mon âme s'égare parmi ses lueurs,
J''imagine les granges du royaume où vit l'oiseau bleu,
Monde de licornes et de chevaux aux robes immaculées,
Où, une roulotte tirée par de superbes ânes gris argenté,
M'emporterait vers une rivière illuminée par les yeux
De ce dieu Amour, qui d'un geste, tel celui des semeurs,
Inonderait l'éther évanescent, de jolies fleurs odorantes
Aux corolles diaprées et parfums envoûtants, mais aussi,
Un vent de papillons aux ailes légères et tons de velours...
J'imagine le ciel du soir dépliant ses merveilleux atours,
Auréolant en couronne d'or, la chevelure d'un ange ravi,
Un coucher de soleil sur une forêt d'arbres frissonnante...
Répandant une ombre titanesque sur les foins terrestres,
Où, paisibles, s'endormiraient des hommes de bonne foi,
Espérant encore trouver ce divin refuge irisé de baisers.
Je cherche ce pont Jeunesse, menant à la porte cachée
Du monde imaginaire, voilée par des foulards de soie...
Sans le hasard, un jour, en osmose avec l'azur céleste,
J'irais vers la liberté, délivrée de ce corps usé par les ans,
J'y retrouverai tous ceux qui partagèrent ma vie d'antan...
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