Chaque nuit lorsque sur mon balcon je vais
Et que je regarde vers les étoiles bien aimées,
Ces êtres uniformes et belles,
Une douce nuit d'été me rappellent,
Tout droit venue des cieux,
Une fille,telle un dieu,
Et dessus elle m'est tombée,
La femme de mes nuits,
Celle de mes rêves les plus fous.
Alors tel un ange elle a luie,
Et moi j'en suis devenu encore plus fou.
On a parlé, ris et pleuré,
Mais au petit matin,
Plus là elle était,
Elle s'est sauvée,comme le malin,
Plus jamais je ne l'ai revue,
Mais parfois,à la pleine lune,
Son visage m'est apparu
Mais un rêve une
Fois encore c'était
Mais je me met toujours à espérer
De revoir son doux visage
Au bord du rivage
De la lactée je tourne mon regard
Mais je n'aperçois que des astres bagnards,
Prisonniers du noir complet
Et aussi de cette lactée
Alors au petit matin, je retourne me coucher.
Et que je regarde vers les étoiles bien aimées,
Ces êtres uniformes et belles,
Une douce nuit d'été me rappellent,
Tout droit venue des cieux,
Une fille,telle un dieu,
Et dessus elle m'est tombée,
La femme de mes nuits,
Celle de mes rêves les plus fous.
Alors tel un ange elle a luie,
Et moi j'en suis devenu encore plus fou.
On a parlé, ris et pleuré,
Mais au petit matin,
Plus là elle était,
Elle s'est sauvée,comme le malin,
Plus jamais je ne l'ai revue,
Mais parfois,à la pleine lune,
Son visage m'est apparu
Mais un rêve une
Fois encore c'était
Mais je me met toujours à espérer
De revoir son doux visage
Au bord du rivage
De la lactée je tourne mon regard
Mais je n'aperçois que des astres bagnards,
Prisonniers du noir complet
Et aussi de cette lactée
Alors au petit matin, je retourne me coucher.