Je dis : vent, et les arbres se mettent à trembler
Je dis : mer, et les ruisseaux coulent plus abondamment
Je dis : eau, et la pluie redouble de vigueur avec la même colère que l'ouragan
Je dis : amitié, et mon coeur s'ouvre en grand
Je dis : silence, et le bruit de la guerre retentit
Je dis : victoire, et les peuples se mettent à chanter pour la paix
Je dis : sang, et les femmes se mettent à crier
Je dis : foyer, et toutes les cheminées s'illuminent ensemble
Je dis : neige, et les flocons se mettent à tomber sur un fond de cantique
Je dis : coeur, et le chant d'un chœur s'élève dans le ciel, comme un grand oiseau blanc qui ne sait où aller cherchant vainement un endroit de repos sur cette terre où la guerre et la haine règnent en maîtres
Je dis : mer, et les ruisseaux coulent plus abondamment
Je dis : eau, et la pluie redouble de vigueur avec la même colère que l'ouragan
Je dis : amitié, et mon coeur s'ouvre en grand
Je dis : silence, et le bruit de la guerre retentit
Je dis : victoire, et les peuples se mettent à chanter pour la paix
Je dis : sang, et les femmes se mettent à crier
Je dis : foyer, et toutes les cheminées s'illuminent ensemble
Je dis : neige, et les flocons se mettent à tomber sur un fond de cantique
Je dis : coeur, et le chant d'un chœur s'élève dans le ciel, comme un grand oiseau blanc qui ne sait où aller cherchant vainement un endroit de repos sur cette terre où la guerre et la haine règnent en maîtres