Quand l’horizon de notre temps s’assombrit,
Que les financiers maîtres de ce monde,
font du capital une religion.
Du chômage une institution,
De la solitude un mode de vie,
Du désespoir une fin.
Quels rêves peuvent encore habiter les hommes,
Là où il n’y a plus de possibles,
Où la loi fait le pauvre, sécrète des exclus.
Paradoxe de cette société investie par l’explosion technologique,
échanges et communications, sont comme frappée d’asthénie.
Alors qu’éclatent moyens et sources d’informations,
mais détournés de leur mission, Faussée dans leur fonction.
Des citoyens réduits à l’état de sujets, résignés et passifs.
Ça ne s’improvise pas, il est vrai ;
Leur mise en condition quotidienne par les moyens les plus raffinés s’avèrent des plus nécessaires à une société forte de leur dépendance.
Frappée de démesure aux appétits spéculatifs insatiables.
Société de l’indifférence où rien ne compte davantage que l’avoir ;
Société sourde à la fraternité ; à l’humanisme.
Où toute une génération réduite à végéter, meurt de ne plus vivre.
Réveillons nous avant qu’il ne soit trop tard.
A Manou
Que les financiers maîtres de ce monde,
font du capital une religion.
Du chômage une institution,
De la solitude un mode de vie,
Du désespoir une fin.
Quels rêves peuvent encore habiter les hommes,
Là où il n’y a plus de possibles,
Où la loi fait le pauvre, sécrète des exclus.
Paradoxe de cette société investie par l’explosion technologique,
échanges et communications, sont comme frappée d’asthénie.
Alors qu’éclatent moyens et sources d’informations,
mais détournés de leur mission, Faussée dans leur fonction.
Des citoyens réduits à l’état de sujets, résignés et passifs.
Ça ne s’improvise pas, il est vrai ;
Leur mise en condition quotidienne par les moyens les plus raffinés s’avèrent des plus nécessaires à une société forte de leur dépendance.
Frappée de démesure aux appétits spéculatifs insatiables.
Société de l’indifférence où rien ne compte davantage que l’avoir ;
Société sourde à la fraternité ; à l’humanisme.
Où toute une génération réduite à végéter, meurt de ne plus vivre.
Réveillons nous avant qu’il ne soit trop tard.
A Manou