J’ai habité ton cœur en caressant ton âme
J’y ai vu la douleur, couchée sur ta pudeur
La lumière éteinte sur le pli de ton cœur
Noyé dans ton chagrin d’une bougie sans flamme
Vers toi je voguerais sur un radeau sans rame
De mon cœur en bulle te donner ma douceur
D’une pluie de baisers, endormir ta douleur
Contre ta paupière me lier à ton âme
J’irais fendant la bise, au delà des rivières
Habiter ton espace au vent de mon soleil
Quand tes pleurs déferlent, les sécher au réveil
Et sur ton front courbé profiler la lumière
Quand ton ombre miroite, et erre dans ma tour
Serpente sur mes murs, balaie comme une plume
La larme qui se meurt dans le vent et l’écume
En perles de rosées dans les rayons du jour
Mais je n’ai que mon pas, du velours dans les yeux
Et mes mains enlacées deux silhouettes éprises
Qui vers toi se tendraient à la croisée des rives
Sous ton temple d’azur toucher le merveilleux.
Et mes mains enlacées deux silhouettes éprises
Qui vers toi se tendraient à la croisée des rives
Sous ton temple d’azur toucher le merveilleux.
Ce poème est dédié à une grande Dame de la poésie !
Elle est pour moi une maman adoptive !
Sa venue fut pour moi un cadeau du ciel !
Elle va se reconnaître
En cœur et en pensées !
Kat
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