Je suis muette, confuse, stupéfaite. Je ne sais pas quoi dire qui puisse assez décrire ce que vous m'avez fait.
Et je crois que le "tu" y est pour beaucoup dans le trouble qui m'assaille.
Merci, pour cette chaleur incroyable, pour ....
Je ne crois pas, jamais, avoir mérité des mots si forts et si beaux.
Je rêve de vous rencontrer, et en même temps, maintenant, j'aurais trop peur de vous décevoir. Comme je vous ai déçue en me laissant couler avec ce que je croyais être créapoèmes.
J'ai pris les choses trop à coeur, mais m'en éloigner m'a fait du bien. Cette parenthèse m'a permis de revenir aux choses essentielles, en laissant de coté le fouillis des mélos pour ne me consacrer plus qu'à la poésie.
Et vous m'avez manqué, trop.
Alors, vous m'avez convaincue. Me voici de retour.
Merci, d'exister, maître Eléâzar, sans doute un des plus grands de l’Histoire de la poésie.
Cécile, de tout mon cœur.
J'ai un peu honte d'avoir écrit ça, et je le savais en l'écrivant. C'est pourquoi j'ai parlé de vanité, parce qu'il est futile, inutile et arrogant de chercher la reconnaissance. Et pourtant je ne peux m'en empêcher. C'est ma grande faiblesse. Je remercie Dieu sans cesse de vous avoir placé sur mon chemin. Vous trouvez toujours les mots qu'il faut pour mettre les choses en perspective, sur la bonne route. Je vous souhaite une belle journée.
Avec toute ma tendresse.
Cécile dite Amapoesia
Et je crois que le "tu" y est pour beaucoup dans le trouble qui m'assaille.
Merci, pour cette chaleur incroyable, pour ....
Je ne crois pas, jamais, avoir mérité des mots si forts et si beaux.
Je rêve de vous rencontrer, et en même temps, maintenant, j'aurais trop peur de vous décevoir. Comme je vous ai déçue en me laissant couler avec ce que je croyais être créapoèmes.
J'ai pris les choses trop à coeur, mais m'en éloigner m'a fait du bien. Cette parenthèse m'a permis de revenir aux choses essentielles, en laissant de coté le fouillis des mélos pour ne me consacrer plus qu'à la poésie.
Et vous m'avez manqué, trop.
Alors, vous m'avez convaincue. Me voici de retour.
Merci, d'exister, maître Eléâzar, sans doute un des plus grands de l’Histoire de la poésie.
Cécile, de tout mon cœur.
J'ai un peu honte d'avoir écrit ça, et je le savais en l'écrivant. C'est pourquoi j'ai parlé de vanité, parce qu'il est futile, inutile et arrogant de chercher la reconnaissance. Et pourtant je ne peux m'en empêcher. C'est ma grande faiblesse. Je remercie Dieu sans cesse de vous avoir placé sur mon chemin. Vous trouvez toujours les mots qu'il faut pour mettre les choses en perspective, sur la bonne route. Je vous souhaite une belle journée.
Avec toute ma tendresse.
Cécile dite Amapoesia