Une grande famille en terre quercynoise vous accueille au Causse blanc.
Ce soir je vais vous parler des hauteurs de Capdenac gare chers figeacois !.
On se souvient, qu’une certaine rivalité depuis longtemps révolue, régnait entre les habitants de ces deux petites villes, mais je vous parle d’un temps, que les moins de soixante ans n’ont jamais connu, et qui finira par appartenir au monde des légendes, quand les ancêtres de mon âge, auront définitivement disparu !.
Aujourd’hui pour le plus grand bonheur de tous, les Capdenacois partagent les vagues du grand bassin figeacois l’été, et l’hiver, les enfants de la patrie de Champollion n’hésitent plus une seconde à traverser le Lot sous les ramparts d’Uxcellodunum pour profiter de la belle piscine couverte appelée : "la Loco" je me demande d’ailleurs pourquoi !.
J’ai même appris qu’un pur produit du pays n’avait pas hésité à gagner les hauteurs de Najac, pour s’y installer, sans avoir l’âme en peine, je ne me souviens plus de son nom..je l’ai pourtant sur le bout de la langue d’Oc!.
Si notre ville est connue pour son industrie aéronautique, et s’est développée grâce à elle, nos voisins on connu leur essor à toute vapeur autour de leur gare à la faveur du rail.
Ouf !…pour le moment je n’ai pas déraillé !.
J’ai écrit sur ce grand village, et j’ai bien entendu insisté sur l’importance des voies dans notre région dès la fin du 19 ème siècle, sur le site :« tu sais que tu viens de Capdenac, je vous invite à le visiter, sauf si vous ne souhaitez pas m’y retrouver !.
Bien entendu nos amis sont réputés aussi pour les conserves Reynal et Roquelaure vous savez, celles qui nous obligent à desserrer la ceinture, ajoutons les grandes usines de charcuteries, et l’entreprise Forest spécialisée dans la fabrication de machines outils, et nous auront ficelé solidement le tout !.
Et bien non !. Après avoir rendu un vibrant et poignant hommage à l’abbé Francès, et mis en avant La Chapelle de Camboulit, ce matin j’ai éprouvé un immense remords, celui d’avoir omis de vous parler de l’entreprise Carles fabricant de cercueils à Sonnac, près de lieucamp un lieu sûrement lié à la guerre des Gaules.
Aussi pour ne pas être confronté à des regrets éternels, et pour retrouver ma sérénité, je me devais de réparer ce regrettable oubli.
La famille Carle bien connue à cinq cents lieues à la ronde, de père en fils et même de mère en fille, consacre une partie de sa vie à concevoir des cercueils, et je me suis laissé dire qu’à force de travail leur affaire était la plus importante de France.
Croyez-moi, en ce moment ils ont du boulot sur la planche!.
Comme dit votre petit poète de service :
Fatale destinée sur terre, rien n’y peut exister tout y est éphémère !.
Nous finirons tous, entre quatre planches, rassurez-vous !.
Mais, pas n’importe lesquelles, nous aurons la grande chance, d’avoir l’ultime privilège de saluer une dernière fois le savoir faire de grands professionnels nés, dans notre belle région.
Et dieu sait que le choix est grand chez nos voisins, du sapin en passant par le peuplier, le chêne aubpalissandre avec ou sans capitonnage, il y a de quoi contenter la mort de tout le monde.
Ainsi, les plus aisés lorsqu’ils suivront le cortège funèbre pourront entente chuchoter une phrase cadencée par la cloche de l’église, et tant de fois entendue sur notre petit lopin de terre : "et bien !…il est chouette ce cercueil…la famille ne c’est pas foutu de sa gueule!".
L’inverse est vrai aussi par déduction, que vont dire les gens quand le croque mort m’empotera, moi qui n’ai jamais juré que par l’essence du bois de peuplier?.
Mais aussi par les sens me direz-vous du tout petit écrivaillon, et c’est bien là, les sens ciel non ?.
Peu importe les commérages, la volonté du défunt est sacrée, et connaissant les miens, je sais que je peux compter sur eux, et mourir l’esprit tranquille ou l’âme en paix!.
Je m’égare, revenons à ce qui doit être notre fierté, celle de la réussite de cette famille, qui prouve que l’on peut à force de persévérance, et de volonté réussir à deux pas de Capdenac-Gare dans un secteur autre que les conserves.
Toutefois, vous en conviendrez avec moi, il s’agit encore d’une histoire de boîte avec un couvercle, on n’en sort pas !…là, est toute la différence, c’est bien la seule vérité vraie que je constate à la fin de mon petit récit.
Cependant…
"À la fin de toute vérité disait Pascal, on se doit d’ajouter, qu’on se souvient de la vérité opposée".
Si cela peut vous aider, et vous servir d’ouvre boîte?.
Je m’incline donc sans chauvinisme, une dernière fois devant cette grande famille indispensable à la vie des hommes, car la mort vous le savez fait partie de la vie.
Ne croyez pas que j’ai l’esprit moribond au contraire il est alerte et plein de vie!.
Ce soir je vais vous parler des hauteurs de Capdenac gare chers figeacois !.
On se souvient, qu’une certaine rivalité depuis longtemps révolue, régnait entre les habitants de ces deux petites villes, mais je vous parle d’un temps, que les moins de soixante ans n’ont jamais connu, et qui finira par appartenir au monde des légendes, quand les ancêtres de mon âge, auront définitivement disparu !.
Aujourd’hui pour le plus grand bonheur de tous, les Capdenacois partagent les vagues du grand bassin figeacois l’été, et l’hiver, les enfants de la patrie de Champollion n’hésitent plus une seconde à traverser le Lot sous les ramparts d’Uxcellodunum pour profiter de la belle piscine couverte appelée : "la Loco" je me demande d’ailleurs pourquoi !.
J’ai même appris qu’un pur produit du pays n’avait pas hésité à gagner les hauteurs de Najac, pour s’y installer, sans avoir l’âme en peine, je ne me souviens plus de son nom..je l’ai pourtant sur le bout de la langue d’Oc!.
Si notre ville est connue pour son industrie aéronautique, et s’est développée grâce à elle, nos voisins on connu leur essor à toute vapeur autour de leur gare à la faveur du rail.
Ouf !…pour le moment je n’ai pas déraillé !.
J’ai écrit sur ce grand village, et j’ai bien entendu insisté sur l’importance des voies dans notre région dès la fin du 19 ème siècle, sur le site :« tu sais que tu viens de Capdenac, je vous invite à le visiter, sauf si vous ne souhaitez pas m’y retrouver !.
Bien entendu nos amis sont réputés aussi pour les conserves Reynal et Roquelaure vous savez, celles qui nous obligent à desserrer la ceinture, ajoutons les grandes usines de charcuteries, et l’entreprise Forest spécialisée dans la fabrication de machines outils, et nous auront ficelé solidement le tout !.
Et bien non !. Après avoir rendu un vibrant et poignant hommage à l’abbé Francès, et mis en avant La Chapelle de Camboulit, ce matin j’ai éprouvé un immense remords, celui d’avoir omis de vous parler de l’entreprise Carles fabricant de cercueils à Sonnac, près de lieucamp un lieu sûrement lié à la guerre des Gaules.
Aussi pour ne pas être confronté à des regrets éternels, et pour retrouver ma sérénité, je me devais de réparer ce regrettable oubli.
La famille Carle bien connue à cinq cents lieues à la ronde, de père en fils et même de mère en fille, consacre une partie de sa vie à concevoir des cercueils, et je me suis laissé dire qu’à force de travail leur affaire était la plus importante de France.
Croyez-moi, en ce moment ils ont du boulot sur la planche!.
Comme dit votre petit poète de service :
Fatale destinée sur terre, rien n’y peut exister tout y est éphémère !.
Nous finirons tous, entre quatre planches, rassurez-vous !.
Mais, pas n’importe lesquelles, nous aurons la grande chance, d’avoir l’ultime privilège de saluer une dernière fois le savoir faire de grands professionnels nés, dans notre belle région.
Et dieu sait que le choix est grand chez nos voisins, du sapin en passant par le peuplier, le chêne aubpalissandre avec ou sans capitonnage, il y a de quoi contenter la mort de tout le monde.
Ainsi, les plus aisés lorsqu’ils suivront le cortège funèbre pourront entente chuchoter une phrase cadencée par la cloche de l’église, et tant de fois entendue sur notre petit lopin de terre : "et bien !…il est chouette ce cercueil…la famille ne c’est pas foutu de sa gueule!".
L’inverse est vrai aussi par déduction, que vont dire les gens quand le croque mort m’empotera, moi qui n’ai jamais juré que par l’essence du bois de peuplier?.
Mais aussi par les sens me direz-vous du tout petit écrivaillon, et c’est bien là, les sens ciel non ?.
Peu importe les commérages, la volonté du défunt est sacrée, et connaissant les miens, je sais que je peux compter sur eux, et mourir l’esprit tranquille ou l’âme en paix!.
Je m’égare, revenons à ce qui doit être notre fierté, celle de la réussite de cette famille, qui prouve que l’on peut à force de persévérance, et de volonté réussir à deux pas de Capdenac-Gare dans un secteur autre que les conserves.
Toutefois, vous en conviendrez avec moi, il s’agit encore d’une histoire de boîte avec un couvercle, on n’en sort pas !…là, est toute la différence, c’est bien la seule vérité vraie que je constate à la fin de mon petit récit.
Cependant…
"À la fin de toute vérité disait Pascal, on se doit d’ajouter, qu’on se souvient de la vérité opposée".
Si cela peut vous aider, et vous servir d’ouvre boîte?.
Je m’incline donc sans chauvinisme, une dernière fois devant cette grande famille indispensable à la vie des hommes, car la mort vous le savez fait partie de la vie.
Ne croyez pas que j’ai l’esprit moribond au contraire il est alerte et plein de vie!.