Quand l’amour décide de tout quitter
IL ne laisse pas de petit mot sur la table
Il part sans savoir où il va dormir ou habiter
Et suit son chemin, le cœur triste, misérable
Quand il a décrété qu’est arrivée son heure
Il n’accroche aucune nostalgie à ses souvenirs
Dans son histoire qui n’aura été qu’un leurre
Il n’y a rien ni personne capable de le retenir
Lorsque l’amour vous glisse entre les doigts
Qu’il n’entend plus les appels au secours
C’est qu’il s’est évanoui en laissant toutefois
Une plaie ouverte, une cicatrice pour toujours
Quand il s’enfuit vers des lointains horizons
Qu’il se perd dans les méandres de l’incertitude
Et ne se projette plus à deux en d’autres saisons
C’est le signe qu’il connaît les affres de la solitude
Mais quand l’amour prend congé des sentiments
Qu’il claque la porte du cœur, passe par la serrure
Une douleur, sortent de leurs gonds les ressentiments
Le temps, lui seul, a la clé pour refermer les blessures
Lorsque l’amour s’en va sur les sentiers sombres
Emportant sur ses épaules un poids qui l’écrase
Que malgré tout, il parvient à sortir des décombres
C’est la preuve qu’il a fait sur son passé table rase
Qu’il claque la porte du cœur, passe par la serrure
Une douleur, sortent de leurs gonds les ressentiments
Le temps, lui seul, a la clé pour refermer les blessures
Lorsque l’amour s’en va sur les sentiers sombres
Emportant sur ses épaules un poids qui l’écrase
Que malgré tout, il parvient à sortir des décombres
C’est la preuve qu’il a fait sur son passé table rase
Toute journée qui s’écoule, chaque année qui court
Se charge de disperser au vent illusions et chagrins
Un jour, le lâcher prise fait trébucher sur un autre amour
Qui offre son bras pour vous relever, tendez-lui votre main
PHILALY // Février 2017
Se charge de disperser au vent illusions et chagrins
Un jour, le lâcher prise fait trébucher sur un autre amour
Qui offre son bras pour vous relever, tendez-lui votre main
PHILALY // Février 2017
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