Tu poses ton regard sur le mien,
Mes mains aggripent tes hanches,
Sur quelques pas de danse tu te déhanches,
Mes lèvres sur les tiennes jusqu'au petit matin.
Se souvenons nous du grand amour,
Celui qui nous a fait longtemps prendre sur le chemin des doutes certains détours,
Celui qui élève nos cœurs,
Rechauffe nos âmes et embrase nos nocturnes ardeurs.
Mes mains aggripent tes hanches,
Sur quelques pas de danse tu te déhanches,
Mes lèvres sur les tiennes jusqu'au petit matin.
Se souvenons nous du grand amour,
Celui qui nous a fait longtemps prendre sur le chemin des doutes certains détours,
Celui qui élève nos cœurs,
Rechauffe nos âmes et embrase nos nocturnes ardeurs.