Qu’elle me suce.
Une, deux, trois…
Et les notes
Posées sur l’accordéon
Résonnent, je baisse mon pantalon.
Quelle suce mon ange en démon
L’âme anonyme se perd en mensonges
Il fait froid là-bas, belle oraison.
Je vois une banlieue
Voler dans les cieux
La galère vogue pour les miséreux
Que je m’endorme
Sur des nuées d’alcool.
Je veux connaitre la curiosité
Qui s’échappe de ma pensée
Mon corps est navire
Et mon sexe chavire
La pucelle qui combat
S’engouffre, gourmande, sur mon mat
Dressé en voile vers des découvertes
Mon poing fermé en mythes
Vole vers des univers aux hanches ouvertes
C’est alors que pénètre ma bite
Face à des Dieux sordides de littératures
Sur des pages usées par la pourriture
D’une géométrie manquant de vide
Je reste Béa, pétrifié et livide
À mon âge je suis liquide
Tendant ma tête sous l’échafaud
Coupant l’esprit du poète en défaut
Sans aucun besoin de guide
Je rêve sous les notes
De l’accordéon qui m’emporte
Je baisse mon pantalon
Qu’elle me suce cette salope.
Loïc ROUSSELOT
Une, deux, trois…
Et les notes
Posées sur l’accordéon
Résonnent, je baisse mon pantalon.
Quelle suce mon ange en démon
L’âme anonyme se perd en mensonges
Il fait froid là-bas, belle oraison.
Je vois une banlieue
Voler dans les cieux
La galère vogue pour les miséreux
Que je m’endorme
Sur des nuées d’alcool.
Je veux connaitre la curiosité
Qui s’échappe de ma pensée
Mon corps est navire
Et mon sexe chavire
La pucelle qui combat
S’engouffre, gourmande, sur mon mat
Dressé en voile vers des découvertes
Mon poing fermé en mythes
Vole vers des univers aux hanches ouvertes
C’est alors que pénètre ma bite
Face à des Dieux sordides de littératures
Sur des pages usées par la pourriture
D’une géométrie manquant de vide
Je reste Béa, pétrifié et livide
À mon âge je suis liquide
Tendant ma tête sous l’échafaud
Coupant l’esprit du poète en défaut
Sans aucun besoin de guide
Je rêve sous les notes
De l’accordéon qui m’emporte
Je baisse mon pantalon
Qu’elle me suce cette salope.
Loïc ROUSSELOT