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que nous tombe dessus l'or du monde

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#1

Partir et revenir, sans cesse, entre trois mondes.
Un être en devenir sans stress, qui s’accorde à la ronde.


Souvent, trop souvent peut être, perdu.
Dans un univers d’équilibre absolu.
A toujours s’interroger, sur la causalité.
Répercuter les effets, en faire sa destiné.


Si trop de tout est mauvais, trop de rien l’est encore plus.
De trop se questionner, parfois les réponses afflux.
Même la relativité, à de mauvais côtés, des deux.
Comme l’ombre et la lumière s’affrontent toujours un peu.


Dans un jardin lunaire, où tout est à créer.
Dans un gant de velours, l’acier se trouve lier.
Douceur compréhensive, de l’acquis du passé.
Dans un monde à créer, sous un ciel étoilé.


Comme apprendre l’alphabet, parler, compter et plus.
Se repérer dans l’espace, avec nos cartes à puce.
Reconstruisons le vase et que l’eau en surplus.
Lentement puisse s’écouler, sur ceux qu’on aime le plus.


Magnifications magnifiante et magnétisante de notre appétit dévorant.
La culture en arborescence nous ferait perdre pied, cependant
Que le chat ronronne sur la chaise d’osier, l’atmosphère en suspend,
La pensée est d’airain, le pied est léger, les couleurs s’allégorisant, allègrement.


Trouver les pourquoi, à tous nos comment, trouver les parce que, à tous nos pourquoi.
Si tout semble éperdu, perdu, mordu, tordu, c’est parce que nos parce que, restes des pourquoi.
Aux yeux de celui qui brille d’un sourire charmant, qui nous ouvre l’esprit parfois.
Miracle de la vie, provenant d’un enfant, qui nous fait réviser l’ensemble de nos lois, pour soi.


Et toutes nos forces ensemble, trois univers séparés, cherchant le même sentier.
Se retrouvent lier, par la compréhension, l’heure est grave, dans l’esprit si sensible.
La couture de la peau, le décalqué des os, le temps qui va passer, et brandit l’accessible
Il suffirait d’un appeau, pour pouvoir dire le beau, si quand on sait siffler, on doit savoir parler.


Mais la route est sinueuse, longue est bordée de dangers, du rouge au violet.
Du noir au blanc, si haleuse, longue et mal éclairée pour trouver la bonne tenue à porter.
Tous dans le noir au départ, tous dans le bain, peu de hasard, les choix sont dessinés.
Comme marcher et tomber, n’empêchera jamais, quelqu’un de motivé, toujours de se relever,


Avancer, vers la thèse de toutes les thèses, dans sa tête comme dans son corps.
Et se livrant un corps à corps, font ressortir une étincelle, paraissant venir du dehors.
Et on comprend la foutaise, de ceux qui se taisent, elle, ne taira pas la voie du nord.
Même si le silence gouverne des siècles d’un plaisir, que le bruit n’est rien, sans son or.


Si le son des gestes et la violence de paroles, pouvaient à chaque fois, arrêter de faire trembler,
Et se laisser emmener, par chemin sans effroi, à ce chantier vibrant, où dort la future paix.
Rien à inventer, même si le paysage, l'épurait de ces premiers instants, permet de s’arrimer.
Et de rester un peu, si on peut aider, pour du matériel, sois pour être là, sois pour assurer.
Tout au début se déplace, un jour notre veille est le contraire de notre lendemain, s’habituer.
Volage est l’esprit, vibrant les sentiments, et puissants les chagrins, qui courent en ces années.


Les échafaudages sont branlants, l’équilibre, précaire, la finition n’est même pas en cause.
Il veut du sage à tous les vents, un équilibre, un père, stratification où le neutre se pose.
A tous les étages, il y a plusieurs âges, certains qui pleurent, qui rient, certains ont une rose.
Ils s’amusent à parler, se querellent, tandis que de tous les sujets, un s’essaie à la prose.


Puis une émotion, vient les brusquer, c’est le moment de s’assumer, au moins la matinée.
Seule en action, derrière la haie, à la limite du questionnement, pour se sentir apaisée.
Ouvrant doucement un livre, elle commence à comprendre, qu’il faut vraiment l’accepter.
Croquant doucement sa pomme, regarde les offrandes, que la connaissance, va lui donner.


Elle rentre mais sait déjà, elle fera ça pour ça, pour rien et pour rien d’autre.
Demi-journée à peine passée, embrouille en vue dés le déjeuner, quoi d’autre ?
Où étais tu passées ? Tout le monde te cherchait ! Tu vas finir par nous tuer, entre autre…
Dehors, pas finie la dernière bouchée, tant pis, trop saoulant de pas être compris des autres.


Demi-journée de seconde main, il pleut des corde comme son traversin, l’abri,
Et juste au coin du coin, juste là, trempée, sans billet et pas l’air marin, le bus repartit.
Mélancolie de la pluie, les pensées abondantes, de chagrin et de paix, là sur le banc blancgris.
Harmonie du temps qui fuit, écrire les mots de ses pensées, griffonner sur le froissé, l’unisson de l'unité.


Après une bonne journée, d’impressions sublimes, en dépréciations, d’apprentissage à la batte.
Mélange subjectif du grandir pour soi, pour l’émulation, la compréhension, point de hâte.
En pouvoir assez, vouloir la paix, les couleurs de la vie peuvent être brillantes ou mattes.
N’abandonnons jamais de voir notre sublime, même si éphémère, restera, à date.


La fin de cette journée, un repas vite avalé, monter respirer, livre ouvert sur les genoux.
La musique, rendez vous fixé, attrapé vite fait un carnet, et vivre des vers mis bout à bout
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