Que j'aime m'égarer au ruisseau séducteur
De ton clin de cristal, limpide comme l'onde,
De nager abêtie dans toute la profondeur
De ton agate claire qui allume mon monde.
A ta lèvre de soie, sa douceur virginale
Enrobée de coussins charnus , quémandeurs
Que j'aime m'égarer dans ces deux roses d' opale
Et me perdre sur la voie d'une tendre tiédeur.
Comme le chant de l' aurore au fond du coeur
Quand tes mots me susurrent à l'oreille,
Le bras se faisant velours , menant à la hauteur
Du chemin de mon corps errant,qui s'éveille.
De ta voix , des tes yeux, des tes lèvres,
Je ne sais pas ce qui me plait le mieux,
S'élève mon credo pour l'aède qui enfièvre,
Et se fourvoie comme un bel oiseau bleu.
De ton clin de cristal, limpide comme l'onde,
De nager abêtie dans toute la profondeur
De ton agate claire qui allume mon monde.
A ta lèvre de soie, sa douceur virginale
Enrobée de coussins charnus , quémandeurs
Que j'aime m'égarer dans ces deux roses d' opale
Et me perdre sur la voie d'une tendre tiédeur.
Comme le chant de l' aurore au fond du coeur
Quand tes mots me susurrent à l'oreille,
Le bras se faisant velours , menant à la hauteur
Du chemin de mon corps errant,qui s'éveille.
De ta voix , des tes yeux, des tes lèvres,
Je ne sais pas ce qui me plait le mieux,
S'élève mon credo pour l'aède qui enfièvre,
Et se fourvoie comme un bel oiseau bleu.
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