Si.....vous avez raison la débilité fait partie de ce monde je viens de vous en donner la preuve.... du moins vous le pensez !.
Mais....peut-on y échapper ?.
" Le bonheur est un mythe inventé par le diable pour nous désespérer ” disait Flaubert...pour la majorité des hommes.....n’est-ce pas une vérité ?...
Oui mais...vous allez me dire .... à la manière de Pascal...
"A la fin de chaque vérité on se doit d’ajouter que l’on se souvient de la vérité opposée."
Nous appartenons à un cycle immuable depuis la clarté des temps sur la voie lactescente nous sommes immortels...
Poussières d’étoiles nous sommes et nous resterons voilà une phrase qui ne peut se discuter....
Excusez ma débilité...je ne suis qu’un simple mortel ignorant qui...je vous l’accorde sera vite ignoré...
Ah oui...il ne fallait pas répéter quatre à cinq fois la phrase « qui pour donner un sens à leur vie...."
Même si vous pensez avoir à faire à un débile ce qui est sûrement vrai mon degré de débilité est quand même contenu.....du moins je l’espère, du moins je l’espère, du moins je l’espère....Hi trois fois...,
Maurice Marcouly
Mais....peut-on y échapper ?.
" Le bonheur est un mythe inventé par le diable pour nous désespérer ” disait Flaubert...pour la majorité des hommes.....n’est-ce pas une vérité ?...
Oui mais...vous allez me dire .... à la manière de Pascal...
"A la fin de chaque vérité on se doit d’ajouter que l’on se souvient de la vérité opposée."
Nous appartenons à un cycle immuable depuis la clarté des temps sur la voie lactescente nous sommes immortels...
Poussières d’étoiles nous sommes et nous resterons voilà une phrase qui ne peut se discuter....
Excusez ma débilité...je ne suis qu’un simple mortel ignorant qui...je vous l’accorde sera vite ignoré...
Ah oui...il ne fallait pas répéter quatre à cinq fois la phrase « qui pour donner un sens à leur vie...."
Même si vous pensez avoir à faire à un débile ce qui est sûrement vrai mon degré de débilité est quand même contenu.....du moins je l’espère, du moins je l’espère, du moins je l’espère....Hi trois fois...,
Maurice Marcouly