Que c'est triste Gérardmer
Aux portes de l'hiver
Le ciel n'est plus bleu
Le temps est neigeux
Un tapis de feuilles orangées
Recouvrent la belle allée
Quelques personnes frigorifiées
Se baladent emmitouflées
Même les petites vedettes
Ne font plus recette
Tout comme les pédalos et les kayaks
Rangés fini de faire le tour du lac
Un couple de joggeur
Coulant de sueur
Font leur sport hebdomadaire
Respirant le bon air
Il y a bien des canards
Aperçus sur la mare
Seul le bar est ouvert
Pas florissantes les affaires
Les boutiques ont mises la clés sous la porte
Pour elles la saison est morte
Au loin quelques sons
Le sifflet d'un maçon
Dans les rues pas un chien
Le glacier ne vend plus rien
Plus de chichis, de pizzas
Volets clos aux villas
Ou sont les boulistes
Les nageurs, les touristes
Peut être au casino
Pour décrocher le gros lot
Un vieux sur un banc
Qu'est ce qu'il attend
Peut être comme le manège
Attend il les premières neiges
Aux portes de l'hiver
Le ciel n'est plus bleu
Le temps est neigeux
Un tapis de feuilles orangées
Recouvrent la belle allée
Quelques personnes frigorifiées
Se baladent emmitouflées
Même les petites vedettes
Ne font plus recette
Tout comme les pédalos et les kayaks
Rangés fini de faire le tour du lac
Un couple de joggeur
Coulant de sueur
Font leur sport hebdomadaire
Respirant le bon air
Il y a bien des canards
Aperçus sur la mare
Seul le bar est ouvert
Pas florissantes les affaires
Les boutiques ont mises la clés sous la porte
Pour elles la saison est morte
Au loin quelques sons
Le sifflet d'un maçon
Dans les rues pas un chien
Le glacier ne vend plus rien
Plus de chichis, de pizzas
Volets clos aux villas
Ou sont les boulistes
Les nageurs, les touristes
Peut être au casino
Pour décrocher le gros lot
Un vieux sur un banc
Qu'est ce qu'il attend
Peut être comme le manège
Attend il les premières neiges