Quand une Âme se rappelle !
Sous silence est restée mon âme
J’ai souvent raconté la vie et ses délices
Oubliant les pleurs filtrant mon existence ;
J’ai souvent dit amen aux multiples supplices
Faisant un chapelet de chacune endurance.
J’ai nourri le calice en lequel on peut boire
Et purifier la lie en mon âme quêteuse
D’un jour sans peine et jamais plus devoir
Confesser les mois les ans, si malheureuse,
Mendier l’inaccessible pour remplir le ciboire
Alors que le ciel sait déjà tout sans frémir !
Sur l’acte bien des maux laissent l’âme en déboire,
Elle seule a le droit d’écumer sans blêmir.
Quand on sait que l’amour a ses raisons de coeur
Que notre connaissance ignore, ne sait pas !
Que la pensée explose, avant d'être un par cœur !
*Que vivre c’est aimer,
Mourir ne serait rien
Si on n’aimait pas !
*Quel mal y-a-il
D’aimer
Sinon de mal Aimer*!
Oui, je suis aujourd’hui en ce plein bonheur d’être
Ce que dit livre ouvert au pages lendemains
Fibres de bois du chêne ou tendre comme un hêtre,
Debout sur ce passé filant doux comme laine,
Si la chair est faible elle connaît son pourquoi
Elle en supporte croix sans que tambour déchaîne
Une sommation contre aile offerte son choix !
*Pensées écrites bien avant mes trente ans
Polymnie2, le 24 Août 2014
Sous silence est restée mon âme
J’ai souvent raconté la vie et ses délices
Oubliant les pleurs filtrant mon existence ;
J’ai souvent dit amen aux multiples supplices
Faisant un chapelet de chacune endurance.
J’ai nourri le calice en lequel on peut boire
Et purifier la lie en mon âme quêteuse
D’un jour sans peine et jamais plus devoir
Confesser les mois les ans, si malheureuse,
Mendier l’inaccessible pour remplir le ciboire
Alors que le ciel sait déjà tout sans frémir !
Sur l’acte bien des maux laissent l’âme en déboire,
Elle seule a le droit d’écumer sans blêmir.
Quand on sait que l’amour a ses raisons de coeur
Que notre connaissance ignore, ne sait pas !
Que la pensée explose, avant d'être un par cœur !
*Que vivre c’est aimer,
Mourir ne serait rien
Si on n’aimait pas !
*Quel mal y-a-il
D’aimer
Sinon de mal Aimer*!
Oui, je suis aujourd’hui en ce plein bonheur d’être
Ce que dit livre ouvert au pages lendemains
Fibres de bois du chêne ou tendre comme un hêtre,
Debout sur ce passé filant doux comme laine,
Si la chair est faible elle connaît son pourquoi
Elle en supporte croix sans que tambour déchaîne
Une sommation contre aile offerte son choix !
*Pensées écrites bien avant mes trente ans
Polymnie2, le 24 Août 2014
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