Ma tendresse est immense envers le mont neigeux
Et l’aride désert qu’a déserté la menthe
Je cligne un œil complice à un ciel nuageux
Quand le soleil doré plastronne et se lamente
Que je n’aie même pas un regard ombrageux
Pour lui dire que je l’aime et le complimente
Sur sa façon d’être d’un temps moyenâgeux
Et même plus avant que son or ornemente
Je veux dire merci à la pluie et au froid
Que ne pointe pas du doigt une ingrate terre
Et je salue bien bas la hauteur du cratère
Ouvert sur son volcan dont le cœur est un roi
Flanqué de son brûlant magma donnant la lave
Que solidifie le froid et que la pluie lave.
Et l’aride désert qu’a déserté la menthe
Je cligne un œil complice à un ciel nuageux
Quand le soleil doré plastronne et se lamente
Que je n’aie même pas un regard ombrageux
Pour lui dire que je l’aime et le complimente
Sur sa façon d’être d’un temps moyenâgeux
Et même plus avant que son or ornemente
Je veux dire merci à la pluie et au froid
Que ne pointe pas du doigt une ingrate terre
Et je salue bien bas la hauteur du cratère
Ouvert sur son volcan dont le cœur est un roi
Flanqué de son brûlant magma donnant la lave
Que solidifie le froid et que la pluie lave.