Quand le désir m’oppresse
Ton baiser me brûle,
ma Douce,
comment oublier
l’ivoire de tes hanches
contre lesquelles
je somnole,
j’ai tant soif des terres de ta nudité,
de la rose de tes seins.
Quand
le désir m’oppresse,
je viens, languissante,
humer la chaleur de tes chairs,
car je veux posséder
le miel de tes lèvres,
la rose de tes extases,
l’ivresse de tes gémissements,
je veux vendanger
la grotte de ton pertuis,
l’ambre de ta chair
où fleurit la corolle de ton sourire.
Je sais l’enclos de tes luxures
qui montent sous les solives du soleil,
je veux te prendre
contre les fleurs de mes mamelons,
tu te cambreras, ouverte et passionnée,
arquée sur tes talons,
tu gémiras bientôt de Plaisir,
tu hurleras ta joie, ô ma madone divine,
jusqu’à ce que
je recueille
en la coupe de mes mains
l’’encens de ta cyprine,
et
le sceau des
nos amours si belles
et si féminines !
Sophie Rivière
Ton baiser me brûle,
ma Douce,
comment oublier
l’ivoire de tes hanches
contre lesquelles
je somnole,
j’ai tant soif des terres de ta nudité,
de la rose de tes seins.
Quand
le désir m’oppresse,
je viens, languissante,
humer la chaleur de tes chairs,
car je veux posséder
le miel de tes lèvres,
la rose de tes extases,
l’ivresse de tes gémissements,
je veux vendanger
la grotte de ton pertuis,
l’ambre de ta chair
où fleurit la corolle de ton sourire.
Je sais l’enclos de tes luxures
qui montent sous les solives du soleil,
je veux te prendre
contre les fleurs de mes mamelons,
tu te cambreras, ouverte et passionnée,
arquée sur tes talons,
tu gémiras bientôt de Plaisir,
tu hurleras ta joie, ô ma madone divine,
jusqu’à ce que
je recueille
en la coupe de mes mains
l’’encens de ta cyprine,
et
le sceau des
nos amours si belles
et si féminines !
Sophie Rivière