Et le maître s'énerva,
ici le maître c'est moi !
et toi, au fond, là-bas,
c'est pas comme ça
que tu y arriveras ...
... "à quoi Monsieur ?"
répondit le garçon.
D'hésitation
le maître bégaya,
le pouvoir, l'argent
cela ne se dit pas
à un enfant !
C'est pas pédagogique,
c'est pas d'l'éducation,
et pourtant ...
c'est souvent sa logique!
Et son bégaiement se renforça
de ne même pas trouver
au fond de soi
à quoi
lui même était arrivé !
Alors par désarroi,
il s'énerva plus fort,
et du ton intélorant
au droit de réponse
des enfants,
ce ton
que tous nous connaissons,
celui de l'"intimation"(*)
à la rédition sans condition,
celui du bon vieux ton,
à la télévision
du jeu de "La Question",
canal Inquisition :
"Et quand tu seras grand,
que feras-tu mon garçon?"
et lui de répondre calmement
"Moi, Monsieur, quand je serai grand ...
... je serai un enfant !"
.... au bûché, ce garçon ?
(*) Ce mot s'il n'existe pas ... il faudrait l'inventer!
ici le maître c'est moi !
et toi, au fond, là-bas,
c'est pas comme ça
que tu y arriveras ...
... "à quoi Monsieur ?"
répondit le garçon.
D'hésitation
le maître bégaya,
le pouvoir, l'argent
cela ne se dit pas
à un enfant !
C'est pas pédagogique,
c'est pas d'l'éducation,
et pourtant ...
c'est souvent sa logique!
Et son bégaiement se renforça
de ne même pas trouver
au fond de soi
à quoi
lui même était arrivé !
Alors par désarroi,
il s'énerva plus fort,
et du ton intélorant
au droit de réponse
des enfants,
ce ton
que tous nous connaissons,
celui de l'"intimation"(*)
à la rédition sans condition,
celui du bon vieux ton,
à la télévision
du jeu de "La Question",
canal Inquisition :
"Et quand tu seras grand,
que feras-tu mon garçon?"
et lui de répondre calmement
"Moi, Monsieur, quand je serai grand ...
... je serai un enfant !"
.... au bûché, ce garçon ?
(*) Ce mot s'il n'existe pas ... il faudrait l'inventer!