On baisse les yeux ,
On se détourne, on s’en va,
On croit que ça ira mieux,
On compte ses pas.
On fait un sourire,
On répond gaiement,
Lais la détresse cherche à sortir,
Mais on la retient. A temps.
On se tortille les mains,
On ne dit jamais rien,
On a les yeux ailleurs,
Plongés dans la rancœur du cœur.
Quand une gouttelette s’impose,
On la retient un peu,
On avoue enfin que tout n’est pas rose,
Il s’inquiète, on rit on dit, « ça n’a pas lieu »,
On s’en va sans avoir rien révélé,
On regrette mais pas beaucoup,
On se dit que c’est enfin passé,
Qu’il n’a rien décelé du tout.
Alors, esseulé, on rentre chez soi,
On ferme la porte, « il ne me reverra pas ».
On se détourne, on s’en va,
On croit que ça ira mieux,
On compte ses pas.
On fait un sourire,
On répond gaiement,
Lais la détresse cherche à sortir,
Mais on la retient. A temps.
On se tortille les mains,
On ne dit jamais rien,
On a les yeux ailleurs,
Plongés dans la rancœur du cœur.
Quand une gouttelette s’impose,
On la retient un peu,
On avoue enfin que tout n’est pas rose,
Il s’inquiète, on rit on dit, « ça n’a pas lieu »,
On s’en va sans avoir rien révélé,
On regrette mais pas beaucoup,
On se dit que c’est enfin passé,
Qu’il n’a rien décelé du tout.
Alors, esseulé, on rentre chez soi,
On ferme la porte, « il ne me reverra pas ».