Protégés par le voile
Attiré(e) comme un aimant
Sous la pluie d'étoiles, tombantes,
Enlacé(e) de rêve, songeant(e),
Sous un voile de nuit, levant.
Désiré tel cheval blanc,
Pour arrêter ces larmes, prescientes,
Saoulé(e) par le jour, le vent,
En obscurité, s'éveillant,
Protégés par le temps, les voiles.
Beauté fébrile d'un crépuscule,
Pour oublier les pas fragiles,
Et allier, sans que se bouscule,
Les mots vivants en plume gracile.
Attiré comme la foudre,
Par ses allures et phrases habiles,
Pôles attirés ou opposés,
Si je fais peu, si tu m'habilles.
Fuyant(e) tel(le) la poudre,
Par respect, sans blesser la plante,
Être tangible et tranquille,
Car où tu seras, je serais.
Courir pour mieux le rattraper,
Au vent qui souffle le respect,
Sentir dans toutes ses fébriles,
Et encore pouvoir y goûter.
Voir l'échange s'en éterniser,
Au temps suspendu, d'un bien être,
En prendre soin sans le blesser,
Au coeur perdu sans disparaître.
Et si tu t'arrêtes un instant,
Prenant la paume de mon sang,
Le voile nous protège et crée.
Des émotions égides, nos êtres.
PHOEUBE, MATTHALE ©(18/05/2018)
Attiré(e) comme un aimant
Sous la pluie d'étoiles, tombantes,
Enlacé(e) de rêve, songeant(e),
Sous un voile de nuit, levant.
Désiré tel cheval blanc,
Pour arrêter ces larmes, prescientes,
Saoulé(e) par le jour, le vent,
En obscurité, s'éveillant,
Protégés par le temps, les voiles.
Beauté fébrile d'un crépuscule,
Pour oublier les pas fragiles,
Et allier, sans que se bouscule,
Les mots vivants en plume gracile.
Attiré comme la foudre,
Par ses allures et phrases habiles,
Pôles attirés ou opposés,
Si je fais peu, si tu m'habilles.
Fuyant(e) tel(le) la poudre,
Par respect, sans blesser la plante,
Être tangible et tranquille,
Car où tu seras, je serais.
Courir pour mieux le rattraper,
Au vent qui souffle le respect,
Sentir dans toutes ses fébriles,
Et encore pouvoir y goûter.
Voir l'échange s'en éterniser,
Au temps suspendu, d'un bien être,
En prendre soin sans le blesser,
Au coeur perdu sans disparaître.
Et si tu t'arrêtes un instant,
Prenant la paume de mon sang,
Le voile nous protège et crée.
Des émotions égides, nos êtres.
PHOEUBE, MATTHALE ©(18/05/2018)
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