Concours : Printemps en fleurs
Du 18 avril au 15 mai
Résultats 17 mai
Thème : printemps en fleurs, qu’il s’agisse de la saison ou de l’âge
Consignes :
4 à 6 quatrains en rimes croisée ABAB
Titre original
Métrique non imposée (nombre de pieds)
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes
Vous pouvez également participer en hors concours.
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1 De mes quarante printemps, maman... POETELUNAIRE...9 médaille de bronze
Quelques printemps passés d'un aspect collusoire,
Pas, assez ou trop peu, le diras-tu maman
Moi-même, je ne sais, ce secret illusoire,
Alors qu'hier, j'étais, dirais-tu cet enfant,
Le futur vagabonde et le temps de la rose,
Disparaît bel amour, qui fut le tout premier,
Me serrant dans tes bras, me chantant une prose,
Aujourd'hui, voulez-vous, sur ce joli damier,
Que j'en parle ma mère, à ce bel auditoire,
En ce concours d'ici, pour Gaby, Samsara,
Et les autres ma foi, que je n'ai qu'une histoire
Pour décrire le temps, de la belle Amsara,
Des quarante saisons qui sont hier passées,
Ne retiens que le temps, des lilas et des fleurs,
De la vie et la mort, des secondes casées,
Tout fut simple sublime, au berceau de mes pleurs,
Si passent les heures, je ne connais poème,
Pour en dessiner l'or, et je dirais, mon moi,
D'une manière simple, oui, c'est sur, je vous aime
En regardant le ciel, sans pudeur, mais, émoi...
Consignes respectées, toutefois « passées » ne rime pas avec « casées » son sé et zé
Fort poétique et titre qui interpelle
Un magnifique poème écrit avec tant de talent et de délicatesse.
Rimes bien choisies, riches en majeur partie,
rien à redire sinon : un beau titre et Bravo !
Consignes ok de belle rimes « abab »
les fleurs, les amours les printemps tout passe
un beau poème émouvant en vous adressant à votre maman
2 Embrassez-vous, là, car sonne le printemps... POETELUNAIRE...8.63
Ma chère regarde au loin de son exil,
Revient l'hirondelle où la belle rivière
Du ciel suit son cours d'un aspect si subtil
Où virevoltant luit un brin de lumière,
L'aurore s'éveille avec les yeux rougis
Que naisse l'amour, et le jour s'ensorcelle
L'âtre s'est éteint, s'entrouvrent les logis,
La gelée d'hier, se réchauffe et chancelle,
C'est temps du baiser, des joues rouges des robes
Que l'oiseau fleurit quand chantonne le bois,
Du vent parfumé des plaisirs, désirs snobes,
Des flanelles bleues d'arômes de sainbois,
Filles, fleurs, nature écoutez la musique,
De l'abeille, l'air, vous paraîtra charmant
C'est avril ce mois, l'hiver est amnésique,
Embrassez-vous, là, car sonne le printemps...
Respect des consignes (désirs snobs)
Belle atmosphère printanière, titre entrainant
J'aime ce titre chaleureux.
Manque une virgule après ma chère.
De belles images assorties de rimes (abab) recherchées,
Bien le rappel du titre au dernier vers.
consignes : rimes abab ok
les fleurs, les amours sont aux rendez vous de printemps
un beau poème
3 Le pot aux roses. LURON1er ...8.65
Aujourd’hui, il me vient une drôle de pensée,
Je pense à mon fils en cueillant cette jonquille,
Avec le p’tit brin du premier mai angoissée,
En effeuillant la marguerite pour une fille.
Hier, perce neige faisait voir sa tête,
Et la fleur du jasmin attendait patiemment
Les jolis boutons de rose pour faire la fête,
Débordant du bleu de l’iris jalousement.
Recouvrant les feuilles, le blanc du cerisier
Promettait déjà les belles collectes d’été,
Alors que la jacinthe sauvage anémiée,
Faisait de l’œil à la pâquerette en pitié.
De Mouloudji, le myosotis et puis la rose,
Invite au renouveau du monde végétal,
Ouvrant magnolia et forsythia en ma prose,
Pour vous conter un printemps de cristal.
Consignes respectées (angoissé)
Fort bien fleuri avec titre révélateur !
Joli pot aux roses pour un panel de fleurs fort bien assemblées,
Je vous ai suivi avec grand plaisir sur le chemin du printemps.
Rimes abab respectées.
consignes respectées mais dommage petite erreur dans l’alternance des rimes F/M
les terminaisons en « e » comme les participes passés « ée » sont des rimes féminines,
pas d’alternance non plus dans votre 3ème quatrain toute sont des rimes en « é »
et vos rimes croisées abab dans ce quatrain du coup sont fausses même si la première et en « ié »
la seconde la rime est fausse «été et pitié » la rime n’est pas bonne
« angoissée » qui est angoissée vous ou le petit brin de muguet ? soit faute d’accord ou virgule mal placée
les fleurs sont bien présente et ouvre le bal du printemps dans votre poème
un joli poème de saison
4 Je crois que le doux printemps s'appelle Elsa. POETELUNAIRE...8.84
Friand des saisons, je cherchais à connaître
Cet étrange couple au parfum singulier,
Qui berce le ciel pour son enfant à naître
Et fait son berceau d'un art irrégulier,
Courant, le hasard, au travers des fenêtres,
Je vis un endroit semblant particulier,
Forçant le regard entre ce bois de hêtres,
Qui m'hypnotisait tel qu'eut fait pendulier,
Alors que l'aurore arrivait comme un maître,
J'aperçus enfin, en prenant mes souliers
Ce que décidais, pour aller reconnaître,
Si c'était d'avril ce couple séculier,
Je laissais ainsi travail à mon étude
Pour aller les voir, ces deux jolis amants,
Et arrivé vers ce champ, par habitude,
Je choisissais l'or à donner au printemps,
C'était un fin pré d'où ce jaune colza,
Me fit deviner, qu'était ici la femme,
Madame De mai, pour l'homme cette flamme,
Bouquet de soleils, pour cette belle, Elsa...
Dommage, le dernier quatrain est en rimes embrassées et non croisées
Belle évocation poétique au prénom de la muse d’Aragon !
Comme cet écrit est beau et tellement poétique,
il m'a renvoyé à une époque bénie où l'on exprimait
ses doutes et ses sentiments avec pudeur...si joliment...
De belles rimes(abab)riches
Beau titre.
consignes presque ok, rimes abab respectées sauf dernier quatrain,
« ce que décidais » mal dit du coup on ne sait pas si c’est une faute ou non, si c’est « ce que je décidais » ou si c’est « ce qui fut décidé »
poème pas très fleuri mais l’on découvre la fleur et le bouquet à la fin
un joli poème mais dommage je trouve ces 2 passages mal dit « ce que décidais » et « tel qu’eu fait pendulier » le manque d’article ou de sujet me gène
5 Printemps de mes quinze ans GABY... 8.62
En ce printemps où mes quinze ans
Effeuillaient blanches pâquerettes
J'espérais qu'avec peu de temps
Refleuriraient les violettes,
Tout, doucement, sont revenus
Les noirs corbeaux et puis les merles
Qui avec leurs gros becs cornus
Leurs yeux brillants telles des perles,
Les truites au dos irisé
Se faufilaient dans la rivière
Alors qu'un soleil argenté
Nous éclairait de sa lumière,
Soixante ans sonnent, il est tard
Là, tout au fond de ma mémoire
Que les matins se font blafards
Je me penche à mon écritoire.
Consignes respectées sans cette évocation poétique et quelque peu nostalgique, titre bien choisi
Un beau souvenir que votre printemps,
écrit avec aisance et talent.
Seule l'apparence change, la jeunesse est en nous,
ce qui nous permet d'aller toujours plus loin.
De belles rimes abab.
consignes respectées rimes« ABAB » ok, mais dommage juste une rime pauvre « irisé-argenté »
la prairie en fleur c’est assombrie avec le temps
un joli petit poème,
6 Douces odes printanières ANGEPAPILLONNANOU...7.87
Fin avril, il fait sentir peu à peu son retour, le joli temps de belles floraisons,
Elles s’installent sous les premières lueurs fines aux fraîcheurs printanières,
Certains jours le bleu ciel reste couvert, faibles sont les éclaircies de la saison,
Le froid est encore très présent durant certaines journées à sa manière.
Ô, non, malgré les après-midi ensoleillées, je ne me découvrirais pas d'un fil !
Les hirondelles viendront chanter et annoncer la belle arrivée du printemps,
Dehors les odes fraîches et brises légères me bercent alors que les heures défilent,
Entre celles-ci et les tiédeurs zéphyriennes, j'aime tellement profiter du temps.
Un bouquet de diversités de couleurs au grè de la nature jaillît en beauté,
Les arbres recouvrent leurs belles couleurs qui font leurs plus bels habillages.
Ils semblent joliment bourgeonner avant d'y laisser la place aux fruits d'été,
Doucement, ceux-là mûriront à l'abri des petits espiègles malins entre les feuillages.
Des parfums délicats se mélangeront et viendront planer à nos atours pour nous embaumer,
Pourvu qu'ils se fassent sentir agréablement sous les chants d'oiseaux harmonieux et en accords,
Tant de cœurs se sentent ravivés en voyant la nature si belle à nouveau animée,
Toutes les couleurs, les senteurs avec authenticités y trouvent ensemble leurs accords,
Aux atours des fleurs et leurs cœurs, quelques abeilles et papillons butinent,
Afin qu'ils y puisent les bons sucs naturels avec lesquels, ils en sortiront du bon miel,
De temps à autre, ils partiront si haut dans l'azur ou seul le soleil divin culmine,
Ensemble, ils joueront à faire une course folle pour se ressourcer un peu au gré du ciel,
Sous mon regard s'étalent des oasis délicatement ornés de multiples couleurs,
Qu'offrent les grandes prairies où j'aime durant chaque printemps et été me prélasser,
Là, minute après minute, pas à pas, je m'attends à ressentir progressivement la chaleur,
À travers cette ballade printanière, je saisis le temps, le temps où j'ose me délasser.
Consignes respectées, toutefois « accords » rime avec « accords »…Suggestion : « toutes les couleurs, les senteurs avec authenticité y puisent leurs décors…
Répétitions : certains jours/certaines journées/ bons sucs/bon miel
Vers un peu longs, titre de douceurs printanières
Un beau titre, j'ai aimé votre poésie dépeignant joliment le printemps en fleur.
« Puisant de bons sucs naturels avec lesquels, il nous offriront saveur et qualité du miel.»
« Où j'aime chaque printemps ainsi qu'en été....» ( plus léger)
Attention aux répétitions de: accords, bon.
De belles rimes abab, dont quelques très riches.
Consignes c’est bon rimes abab respectées mais « accords-accords » la rime n’est pas bonne un mot ne peut rimer avec lui même,
« ô » mal utilisé, ainsi il signifie toi, ici il s’agit de l’exclamation « ho ! », « je ne me découvrirais »ne prend pas de « s » première personne du futur simple,
«avec authenticité» j’aurais mis au singulier car il n’y a qu’une authenticité
une ode bien printanière où tout ce qui fait le printemps est présent un peu pêle-mêle, les fleurs y sont aussi pour un printemps en fleurs
un poèmes avec de belles images, mais des vers un peu longs et donnent quelques lourdeurs dommage
7 À l'aube du printemps. WILLIAMS LECORNIER...8.63
Afin de recouvrer de nouveaux paysages.
La nature a quitté son blanc-manteau d'hiver ;
Pour retrouver, enfin, tous les plus beaux feuillages.
Et se vêtir à neuf, dans un bel habit vert.
Jouissant pleinement, des douceurs naturelles,
Pendant cette saison, de rêve et de gaîté ;
Colorés de verdure et brodés de dentelles.
Dans de super tableaux, d'une sublimité.
Dans les parcs et jardins, quand l'hiver se repose,
On respire dans l'air, d'agréables senteurs ;
Du matin jusqu'au soir, le doux parfum de rose.
Inondant l'atmosphère et les forêts d'odeurs.
Sitôt que le printemps rendosse sa parure,
Qu'un simple vol d'oiseaux, vient relancer l'appel ;
On ne peut qu'admirer cette beauté si pure.
Qui décore l'azur, cela semble irréel.
On dirait que le temps s'arrête et s'éternise.
Formant dans le ciel bleu, un superbe décor ;
Dans un calme absolu, d'où la couleur s'irise,
Quand l'aube du matin baigne les épis d'or.
Consignes bien respectées, titre fort adapté pour cette évocation poétique
Un poème qui respire la contemplation et la sérénité
J'aime beaucoup l'image de votre dernier vers.
De jolies rimes abab
Suggestions:_
Tous ses plus beaux feuillages ….se vêtir de neuf...
dont la couleur s'irise...
Mettre une virgule après forêts....
Rimes croisées « ABAB » respectées avec en plus alternance F/M,
Pour le sujet « printemps en fleurs » vous décrivez l’arrivée d’un printemps aux odeurs de roses
un beau poème bien bucolique, mais j’aurais remplacé certains mots, je ne partage pas entièrement votre vision du printemps, trop idyllique, trop calme à mon goût, le printemps c’est la vie le renouveau, il y a pleins de bruits de chant d’oiseaux etc...
8 Quand le printemps fleuri. WILLIAMS LECORNIER...8.72
Le temps a délaissé son climat de froidure.
Ses matins glacials, de frimas et de gel ;
Pour endosser sitôt toute cette verdure,
Dans un superbe habit, toujours plus solennel.
Dès que l'aube du jour, s'orne de couleurs pures,
Accompagné d'envols de jeunes passereaux.
On entend de partout, de doux chants en murmures.
Et voyant dans le ciel, flirter les tourtereaux.
Quand renaissent les fleurs et l'hiver se repose.
On ressent de l'air pur, de toutes les senteurs.
Et toute la douceur des pétales de rose ;
Parfumant les jardins de ses bonnes odeurs.
Pendant que le soleil, toujours plus haut, attise,
Paisible, tout s'endort, à l'horizon vermeil.
Dans un calme absolu, d'une légère brise,
Gardant incessamment tous nos sens en éveil.
Respect des consignes, harmonieux à souhait ! bravo
Poème lumineux, belle observation des oiseaux
Suggestions: pour votre 3ème quatrain
« Quand renaissent les fleurs, que l'hiver se repose, »
« On respire l'air pur, ainsi que leurs senteurs »
« L'on peut voir dans le ciel, fleurter les tourtereaux »
Ses bonnes odeurs ( celles de la douceur)
Dans votre titre fleurit est un verbe et non un adjectif donc t
Attention aux répétitions de: de...toute(s)
de belles rimes abab respectées
Le titre OK, de belles rimes croisées « ABAB » avec en plus alternance F/M et il me semble écrit en alexandrins,
« de ses bonnes odeurs » « ces » aurait été plus juste
Et oui le printemps fleuri, quand le printemps se réveil
un beau poème, mais j’aurai changé quelques articles dans le 3ème quatrain pour une meilleur lisibilité
suggestion :
« quand renaissent les fleurs, que l’hiver se repose » c’est plus logique
« on ressent cet air si pur de toutes les senteurs, par toute la douceur des pétales de roses »
et dernier quatrain :
« tout s’endort » pas vraiment plutôt tout se réveil et pour garder votre métrique tout renaît
9 Printemps, vous avez dit printemps ! LURON1er...8.48
La samaritaine étant fermé,
Pour acheter des vers pour la pêche,
Au magasin du printemps, j’ai été charmé,
Trouver l’hameçon qui me donne la pêche.
Avec mes printemps, j’ai pris de l’âge,
Mais aujourd’hui, ma rivière est à sec,
C’était sûrement un mauvais présage,
La seule fleur est l’amorce d’une noix d'arec.
Si les lotus attendent une mise en eau,
La pluie ne s’attardant pas sur nos terres,
C’est qu’ici, le temps est trop beau,
Une solution les mettre dans la serre.
J’ai donc fini ma balade en jardinerie,
A choisir les fleurs des fruits du désert,
Pour qu’avec les vendeurs on en rit,
De goûter plus tard de merveilleux desserts.
Respect des consignes dans ce bel humour printanier
Une façon pleine d'humour de mêler printemps en fleur et âge...
Le questionnement de votre titre est une belle entrée en matière.
Respect des rimes abab,
Attention à la répétition de: pêche en votre 1er quatrain
La Samaritaine est un nom féminin donc fermée.
Le titre OK, rimes croisées « ABAB » respectées
sujet abordé avec humour, le, printemps de l’âge
une belle lecture
10 Rendez-vous printanier ANGEPAPILLONNANOU... 7.5
Il aura suffit d'un bouton qui s'est à peine éclos en fleur,
Comme les vents s'abattaient sur l'immense nature,
Les nuages purs, ils ont progressivement séchés leurs pleurs,
La brise fraîche est venue passer au-dessus en filature,
Dans l'immense prairie, je vois des enfants à travers champs courir,
Se réfugier derrière les arbres, les premières feuilles, les cabanes, les amusent,
S'en improvisant des apprentis vétérinaires pour un papillon, un oiseau à secourir,
Devenir à leur aspect espiègle un trophée, voire une muse,
Un semblant de chaleur à chaque fois sort de nulle part et s'impose,
D'après quelques peaux déjà exposées par les premiers rayons du soleil,
Bien sûr, pour d'autres, il est probablement trop tôt pour qu'ils s'y exposent,
Les hirondelles reviennent sous le charme des journées printanières sans pareil,
Dans une saison aussi changeante, entre chaleur et fraîcheur,
La végétation sous les bords émerge en faisant jouer les ombres,
Les coquins et voleurs de pies et de geais chantent déjà dans les cœurs,
Que le ciel soit en pleine lumière pour devenir de plus en plus sombre.
Consignes respectées mais quelques lourdeurs…
« qui s’est à peine éclos en fleur »// qui est à peine devenu fleur
Pour plus de légèreté : les nuages purs qui ont progressivement séché leurs peurs,
« d’après quelques corps déjà exposés »…
Un joli tableau printanier
De belles rimes abab, respectées.
« à peine éclos et en fleur » font répétition
suggestions:
Supprimer ils (3ème vers,1er quatrain)
Mettre une virgule après : à travers champs, au-dessus,vétérinaire,espiègle,
et supprimer celle après cabanes....Point après filature.
«s'improvisant apprentis vétérinaires,»
« peaux déjà exposées » pour éviter la répétition avec s'y exposent,
En cette saison au lieu de: dans une.....« sous les bords » ? je n'ai pas compris.
Les coquins,voleurs de pies et de geais....Mettre entre guillemetsle dernier vers.
Rimes croisées « ABAB » respectées
« s’en improvisant des apprentis » mal dit « s’improvisant »,
« ils ont progressivement séchés » pas de « s »
vous avez associé printemps et printemps de l’âge dans votre poème
une lecture confuse, des vers trop long certaines formulations seraient à revoir
11 Saveurs des souffles printaniers ANGEPAPILLONNANOU......7.61
À la volonté du ciel, les clairets azurs ont commencé à venir s'y étendre !
Les parfums émanent et se mêlent à la grâce du temps,
Je me vois en train de créer avec délicatesse ces bouquets aux coloris lumineux et tendres,
Cette saison où tout semble redémarrer, ces boutons floraux du beau printemps,
L'immensité de la belle nature a été ranimée par toutes ces couleurs,
Les arbres se revêtissent de leurs grands feuillages que les bises font danser,
Entre l'air encore un peu glacial et furtif zéphyr de première belle chaleur,
Doucement, je déambule parmi les pulsions ventées dont les rythmes étaient ambiancés,
Si les nouveaux parfums me permettent d'être apaisé,
Marchant au cœur de ce cadre fleurissant, je me souviens que les années passent,
Des fois, j'aime toujours aller aux coins qui existent encore pour me pavaner,
Si haut sur un rameau de cerisier fleuri, j'entends un couple de tourtereaux roucouler,
J'ai hâte que le printemps soit au rendez-vous avec ses délicats parfums de jasmin et de lilas,
Leurs senteurs parfumées ont traversé les ornements et embaumé les jardins et les terrasses,
Autour de moi, spectatrice devant la nature printanière, les hirondelles volent par-ci par-là,
Dans le bleu azur du ciel, j'observe paisiblement les avions voltigeurs en laissant leurs traces,
Entre tous les paysages changeants, agréables et beaux, à très court terme, je m'égare,
À travers toutes ces couleurs reflétant la douceur infinie de l'éternel printemps florissant,
Tous ces trésors émergeant à travers les prés tapissés de couleurs, vagabondent mon regard,
Prendre le temps de se sentir soi-même, de voyager avec des frissons, c'est enrichissant,
Écoutez à nouveau les jolis chants des oiseaux et les voir construire et faire leurs nids chaleureux,
Afin de pouvoir y accueillir sous leurs piaillements joyeux leurs jeunes oisillons,
Même pour une heure ou une journée ou plus, c'est beau de voir ce monde heureux,
Seulement pour entendre la nature de ces chants, oiseaux, cigales et grillons.
Dommage, dans le 3ème quatrain le ABAB n’est pas respecté, attention aux répétitions « beau printemps/ belle nature/ belle chaleur » et à la concordance des temps…A travers ce poème, toute l’étendue du printemps…
On se croirait au paradis
Belles rimes abab respectées, souvent riches.
Vers un peu trop longs donc difficiles à maîtriser.
Suggestions:
Les jardins et terrasses... « Dans l'azur bleu du ciel »
« Même pour une heure, une journée ou plus encor, qu'il est beau de....»
« ses chants d'oiseaux, de cigales et grillons »
Consignes c’est bon pour les rimes ABAB sauf dans votre 3ème quatrain où« passe » pas de rime et rime pauvre en é pour les autres
un printemps fleuri venté, un brin de fraîcheur
un poème qui débute bien, mais des vers trop longs et confus
12 Ainsi va le printemps. WILLIAMS LECORNIER...9.05 médaille d'argent
La nature a remis une robe nouvelle.
Comme à chaque saison quand revient le printemps.
Par sa grâce et son charme, elle nous interpelle.
Tous les jours, un peu plus, depuis la nuit des temps.
Du matin jusqu'au soir, c'est la métamorphose.
Quand vient l'aube du jour, aux premières lueurs,
On respire déjà, le parfum de la rose.
Embaumant tous les champs, de bien-être et d'odeurs.
À l'heure ou l'horizon prend sa couleur vermeille,
On voit se dessiner une telle beauté.
Refleurissent les fleurs et l'aube s'émerveille,
Annonçant les beaux jours, d'un prochain bel été.
Sous un ciel lumineux, nuances d'aquarelles,
On ne peut qu'admirer tout ce réel bonheur.
Qui vient nous rappeler les douceurs éternelles.
Reflet du renouveau dans toute sa splendeur.
Respect de consignes et très belle évocation du printemps !
J'aime le titre.
Quelle aisance d'écriture, quel bonheur de vous lire.
Belles rimes abab, de beaux alexandrins non imposés
Un seul mot : Bravo !
( Peut-être un point d'exclamation au titre? )
consignes rimes croisées abab c’est bon, de plus avec alternance F/M et en alexandrin,
le printemps une métamorphose où refleurissent les fleurs
une lecture agréable sans accrocs
13 Charrette printanière PAT38000...........9.25 médaille d'or
Au bord d’un lac...Au-delà de l’horizon
Un ballet de cygnes auréole la nuit...
L’ombre en vague candide donne le ton
Baignant leurs larmes dans un puits …
Lorsqu’arrive l’élégance d’un courant
Un tintement de clochettes porcelaine
L’unique parfum du muguet au vent
Offre son bouquet à la souveraine …
Les fleurs en grappes roses du cépage
Courtisent la douceur du printemps
Un cœur-Marie ouvre son corsage
Et accueille le mirifique amant…
La farandole aux boutons d'or
Chatouille le menton des enfants
Leurs fous-rires incoercibles trésors
Flattent le nez du clown extravagant…
Ainsi la charrette parcourt le monde
Charger d'une mélodie au précieux nectar
Colonise la terre fertile et ronde
D’une saison parfaite son œuvre d’art…
Consignes respectées, titre bien choisi pour ce corso de fleurs !
« chargée »
De magnifiques images, bien poétique !
Beau titre, belle conclusion.
Superbe! une aisance, une élégance à l'écrit,
donnant naissance à de belles images...
La vie dans un papier de soie...
Belles rimes abab
(Lors-qu'arrive)
Peut-être une virgule, après parfaite.
Le titre OK, rimes croisées « ABAB »c’est bon mais beaucoup de rimes suffisantes
« charger d’une... » c’est la charrette qui est chargée donc « ée »
une belle charrette fleurie comme celle d’un corso fleuri qui parcourt le monde apportant le printemps, de belles références aux fleurs
un bel écrit original, une belle lecture
Le printemps figure de porcelaine
Souffle à l’enfant son aigrette,
Graines éphémères au vent de scène
Parachute au mille et une girouettes.
Le premier décor est planté ,
La fleur du muguet sauvage
S’acclimate aux doigts de fée,
Farandole... le bonheur déménage .
Lumière…un nez rouge sur la piste
Éclate un bouquet étagé de ballons,
De larmes étoilées du clown artiste
A son cœur l’archet magique du violon .
La charrette au puits des sourires
Auréole sa mélodie au claire prime.
La vague de rires en fous-rires
Sous la main du maitre s'affirme.
L’ombre tombe sur l’horizon
Au-delà des révérences de la flore,
Reviendra à la prochaine saison
L’élégance du cygne au collier d’or.
Respect des consignes, « aux mille et une »/ à la claire prime »
Toute la gaité et l’air du printemps dans ce titre et ce poème
De belles métaphores émaillent votre poème. J'aime le titre
Que ce vers est splendide « l'élégance du cygne au collier d'or.»
Merci pour cette belle lecture
De belles rimes abab
Le titre OK ,rimes croisées « ABAB »mais des rimes pauvres et suffisantes et « prime et affirme » la rime est fausse, dommage
un joli poème qui commence certes par « le printemps » mais je trouve qu’on s’éloigne un peu du sujet
un poème original, une belle lecture cependant
Premier jour de printemps. POETELUNAIRE
Avènement céleste, éclair originel
Fais-tu le jour la nuit, étrange paradigme
L'amour, la mort, la fleur, opium sensuel
Étant cet indicible ouvre moi cette énigme,
Tant de matins encor à entrevoir l'agnel
Sur l'océan plonger au dédale d'un stigme
Encor une fois, oui, pour finir éternel ;
Où d'une vague haute en refait tout l'ænigme
Si passent les saisons et puis autant d'automnes
De ce joli plaisir, de ce merveilleux tour,
Quand sommeille l'hiver chaque fois, tu m'étonnes
Bel amour de printemps, à naître avec le jour,
Figes-tu le soleil où fais-tu que l'aurore
Dans tes tissus de soie, arrive à contre-jour
Semblant ne pas mourir et sa lumière éclore
J'aime ça, deviner, ce si sublime amour.
Stigme. Mathématiques. Parcours des arêtes d'un graphe sans recoupement
Ænigme, autre orthographe de énigme.
Peu à peu, les champs se parent d'or sur vert tendre,
Le soleil balaie la terre, explose tel un enchantement.
Dans le cerisier en fleurs, les oiseaux se font entendre,
En haut du bouleau, les pies tissent un nid savamment...
Les abeilles endormies s'éveillent au bord de la fenêtre,
Au loin s'élève le chant répétitif du coucou, annonçant
La renaissance aux habitants d'un berceau champêtre,
Mais un grand souffle parfumé se prépare, menaçant ...
La pluie tant attendue par le paysan, s'est enfin libérée
Sur les semailles d'hier, la jacinthe bleue tapisse les bois,
La jonquille fait place à la cloche du muguet défroissée,
Je vole vers les brassées odorantes des lilas d'autrefois...
Jeunesse sans cesse renouvelée après mainte et mainte
Péripéties, tu arrives par la voie de l'air, amoureusement,
Puis, reprenant tes palettes de couleurs, sans une plainte,
Tu repeins le sourire de la planète aux cheveux d'argent...
Sur grand écran, les senteurs printanières tourbillonnent,
Déposent malicieusement une belle promesse qui fleurit,
L'atmosphère s'est emplie d'amour et cupidon fanfaronne
J'entrevois le temps des espérances infinies qui nous bénit...
Les arabesques du ciel m'offrent un spectacle grandiose!
Souvenir ne me quittes plus sous l'astre qui m'émerveille.
Corps et âme, avec la flore et la faune je suis en symbiose
J'aspire à la sérénité quand sonne l'heure du grand éveil...
La nature se vêt de soyeux apparats
Sous calorescence de gammes chatoyantes,
Se drapant de jade, safran et gardénia
La vie s’affine en résonances flamboyantes,
Un voilage éthéré de tulle céladon
Se déploie en auréole de jouvencelle,
Sous l’étincelle pré feutrée d’un Cupidon
Les branchages étendent verdoyance nouvelle,
Les talus jusqu’alors laissés à l’abandon
Se donnent offrande d’herbe folle et sauvageonne,
Parsemée d’une flore rustique et chardons
La végétation en renaissance bourgeonne,
Les couleurs fredonnent en des bouquets de senteurs,
Dame printemps bâtit son nid avec patience
Sous l’approbation d’un éternel bienfaiteur
Symbole de persistance et persévérance,
Buissons, amandiers, pêchers tout en floraison
Comme en miracle ils ont vaincus le gel austère,
Cerisiers en manchon lilial à l’horizon,
Jacinthes, crocus, bleuets germent de terre,
Belle saison tu laisses apparaitre l’espoir,
Ravivant de nos mémoires les souvenances
Des caresses brulantes dépourvues de noir
Sous les raffinements d’arpèges d’allégeances.
Bonjour! Ce matin, j'ouvre les yeux sur un monde nouveau,
Aujourd'hui ne sera plus comme hier, la flore s'éveille...
La sève monte dans la vieille écorce penchée sur l'eau,
Je rêve de nouveaux horizons, de paix et de merveilles...
La douceur incertaine d'Avril a préparé son or,
L'explosion florale, dissipe les caprices de l'astre,
Lance un appel aux musiciens du ciel, à grand renfort,
La faune se tapit dans l'ombre, craint encor le désastre.
Museaux levés, hument l'effluve parfumé du Printemps.
Les haies d'aubépine se couvrent comme neige éternelle,
Le cortège des lilas nous offre un tableau à mi-temps,
En secret les clochettes blanches préparent leur dentelle...
Terre, Ô Terre si précieuse, sans toi, que serions nous ?
Tes armées en fleurs se sont délicatement pomponnées,
Tes chemins reverdissent, où chats et lapins font les fous.
Pour un instant seulement, arrêtez-vous sous la ramée...
Horloge du temps, tournes doucement, laisses-moi rêver
Comme autrefois, j'aimerais tant courir sur tes herbes folles,
Le bleu myosotis, la violette et le muguet, débusquer.
Terre en fleurs, comme je t'aime, j'entends rire tes corolles...
Beau fleuve d'argent, toi qui te pavanes au soleil,
Tes prairies poussées par le vent courbent l'échine,
Leurs chevelures ébouriffées, teintées d'or vermeil,
Sont tel présent céleste et nocturne qui me fascine.
Le « grand maître » a semé ses frêles boutons d'or,
Et la terre s'éveille aux tendres caresses de l'astre,
La voix de son ange anéantit l'angoisse de la mort,
L'hiver et sa blessure disparue, chasse le désastre!
Du cœur terrestre, je crois entendre les battements,
Son chant de vie se promène sur les arbres en fleur,
L'espérance explose et libère mille doux sentiments...
La sève nourricière répand la promesse du bonheur,
Que cette venue miraculeuse à l'infini se renouvelle.
Quand sonne cette heure printanière, je me souviens
Des facettes d'une existence que je croyais éternelle,
De ses pleurs et de ses rires pour de tout petits riens.
Malgré mes pensées désordonnées, je suis rassurée
Par ce tableau idyllique où refleurissent les amours,
Où la faune et flore confondues retrouvent l'empyrée,
J'irai sereine, boire à la coupe du rêve pour toujours...
Voici venu le temps, d'aller cueillir la rose.
Dans le cœur des jardins de toutes les senteurs ;
Dans lesquels la saison se met en symbiose,
Avec les jours fleuris, aux multiples couleurs.
Et d'admirer enfin l'envol des hirondelles,
Ainsi, se libérer de cet affreux manteau ;
Afin de se vêtir d'une robe nouvelle,
Sous l'air mélodieux, de tous ces concertos
Refleurissent les fleurs, des belles jardinières,
Redonnant aux printemps, une sublimité ;
Parfumant les matins des odeurs printanières,
Ses milliers de décors, dans toute sa beauté.
Lorsque le ciel d'azur s'orne de couleurs pures,
On peut voir les sous-bois sortir de leur sommeil ;
Entendre de partout des doux chants en murmures,
Lorsque l'aube se lève à l'horizon vermeil.
Le vert printemps des modérateurs en vers.
Tous ensemble, dans le rose de mon cyclamen,
Présentons en quelques fleurs le nouveau printemps,
Une dépêche qui chaque année, le cycle amène,
Pour faire l’écho à hiver, le ravigotant.…………................... Luron1er
Sur les vifs nuanciers de leurs pétales
Les jonquilles se pétillent d’or acidulé,
Les coquelicots s’évadent de leurs sépales,
Bleuets et muscaris chantent l’azuré………………Llumierelive xxl
Alors ça y est ? Le printemps est arrivé ?
La lumière admet que je me trompe,
J'ai pas le temps, un cerisier à soigner,
Cette même lumière qui le soir m'estompe,………… Matthale
Printanières les fleurs tricolores ont envahi la rue,
Le timide bleuet sous le vent est encor trop discret,
Il soupire en apercevant la blanche clochette émue,
Au charme du rouge pavot à l’œil noir si coquet...................Lys
Le printemps nous apporte ses odeurs de violettes,
De roses et de lilas, de muguet et de révolution,
Comme des jeunes filles en fleur vont follettes,
Nous semons nos rêves et espoirs avec passion,….Zuc
Du 18 avril au 15 mai
Résultats 17 mai
Thème : printemps en fleurs, qu’il s’agisse de la saison ou de l’âge
Consignes :
4 à 6 quatrains en rimes croisée ABAB
Titre original
Métrique non imposée (nombre de pieds)
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
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Médaille d'Or PAT38....9.25
Médaille d'Argent WILLIAMS LECORNIER...9.05
Médaille de Bronze POETELUNAIRE...9
Médaille d'Or PAT38....9.25
Médaille d'Argent WILLIAMS LECORNIER...9.05
Médaille de Bronze POETELUNAIRE...9
1 De mes quarante printemps, maman... POETELUNAIRE...9 médaille de bronze
Quelques printemps passés d'un aspect collusoire,
Pas, assez ou trop peu, le diras-tu maman
Moi-même, je ne sais, ce secret illusoire,
Alors qu'hier, j'étais, dirais-tu cet enfant,
Le futur vagabonde et le temps de la rose,
Disparaît bel amour, qui fut le tout premier,
Me serrant dans tes bras, me chantant une prose,
Aujourd'hui, voulez-vous, sur ce joli damier,
Que j'en parle ma mère, à ce bel auditoire,
En ce concours d'ici, pour Gaby, Samsara,
Et les autres ma foi, que je n'ai qu'une histoire
Pour décrire le temps, de la belle Amsara,
Des quarante saisons qui sont hier passées,
Ne retiens que le temps, des lilas et des fleurs,
De la vie et la mort, des secondes casées,
Tout fut simple sublime, au berceau de mes pleurs,
Si passent les heures, je ne connais poème,
Pour en dessiner l'or, et je dirais, mon moi,
D'une manière simple, oui, c'est sur, je vous aime
En regardant le ciel, sans pudeur, mais, émoi...
Consignes respectées, toutefois « passées » ne rime pas avec « casées » son sé et zé
Fort poétique et titre qui interpelle
Un magnifique poème écrit avec tant de talent et de délicatesse.
Rimes bien choisies, riches en majeur partie,
rien à redire sinon : un beau titre et Bravo !
Consignes ok de belle rimes « abab »
les fleurs, les amours les printemps tout passe
un beau poème émouvant en vous adressant à votre maman
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2 Embrassez-vous, là, car sonne le printemps... POETELUNAIRE...8.63
Ma chère regarde au loin de son exil,
Revient l'hirondelle où la belle rivière
Du ciel suit son cours d'un aspect si subtil
Où virevoltant luit un brin de lumière,
L'aurore s'éveille avec les yeux rougis
Que naisse l'amour, et le jour s'ensorcelle
L'âtre s'est éteint, s'entrouvrent les logis,
La gelée d'hier, se réchauffe et chancelle,
C'est temps du baiser, des joues rouges des robes
Que l'oiseau fleurit quand chantonne le bois,
Du vent parfumé des plaisirs, désirs snobes,
Des flanelles bleues d'arômes de sainbois,
Filles, fleurs, nature écoutez la musique,
De l'abeille, l'air, vous paraîtra charmant
C'est avril ce mois, l'hiver est amnésique,
Embrassez-vous, là, car sonne le printemps...
Respect des consignes (désirs snobs)
Belle atmosphère printanière, titre entrainant
J'aime ce titre chaleureux.
Manque une virgule après ma chère.
De belles images assorties de rimes (abab) recherchées,
Bien le rappel du titre au dernier vers.
consignes : rimes abab ok
les fleurs, les amours sont aux rendez vous de printemps
un beau poème
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3 Le pot aux roses. LURON1er ...8.65
Aujourd’hui, il me vient une drôle de pensée,
Je pense à mon fils en cueillant cette jonquille,
Avec le p’tit brin du premier mai angoissée,
En effeuillant la marguerite pour une fille.
Hier, perce neige faisait voir sa tête,
Et la fleur du jasmin attendait patiemment
Les jolis boutons de rose pour faire la fête,
Débordant du bleu de l’iris jalousement.
Recouvrant les feuilles, le blanc du cerisier
Promettait déjà les belles collectes d’été,
Alors que la jacinthe sauvage anémiée,
Faisait de l’œil à la pâquerette en pitié.
De Mouloudji, le myosotis et puis la rose,
Invite au renouveau du monde végétal,
Ouvrant magnolia et forsythia en ma prose,
Pour vous conter un printemps de cristal.
Consignes respectées (angoissé)
Fort bien fleuri avec titre révélateur !
Joli pot aux roses pour un panel de fleurs fort bien assemblées,
Je vous ai suivi avec grand plaisir sur le chemin du printemps.
Rimes abab respectées.
consignes respectées mais dommage petite erreur dans l’alternance des rimes F/M
les terminaisons en « e » comme les participes passés « ée » sont des rimes féminines,
pas d’alternance non plus dans votre 3ème quatrain toute sont des rimes en « é »
et vos rimes croisées abab dans ce quatrain du coup sont fausses même si la première et en « ié »
la seconde la rime est fausse «été et pitié » la rime n’est pas bonne
« angoissée » qui est angoissée vous ou le petit brin de muguet ? soit faute d’accord ou virgule mal placée
les fleurs sont bien présente et ouvre le bal du printemps dans votre poème
un joli poème de saison
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4 Je crois que le doux printemps s'appelle Elsa. POETELUNAIRE...8.84
Friand des saisons, je cherchais à connaître
Cet étrange couple au parfum singulier,
Qui berce le ciel pour son enfant à naître
Et fait son berceau d'un art irrégulier,
Courant, le hasard, au travers des fenêtres,
Je vis un endroit semblant particulier,
Forçant le regard entre ce bois de hêtres,
Qui m'hypnotisait tel qu'eut fait pendulier,
Alors que l'aurore arrivait comme un maître,
J'aperçus enfin, en prenant mes souliers
Ce que décidais, pour aller reconnaître,
Si c'était d'avril ce couple séculier,
Je laissais ainsi travail à mon étude
Pour aller les voir, ces deux jolis amants,
Et arrivé vers ce champ, par habitude,
Je choisissais l'or à donner au printemps,
C'était un fin pré d'où ce jaune colza,
Me fit deviner, qu'était ici la femme,
Madame De mai, pour l'homme cette flamme,
Bouquet de soleils, pour cette belle, Elsa...
Dommage, le dernier quatrain est en rimes embrassées et non croisées
Belle évocation poétique au prénom de la muse d’Aragon !
Comme cet écrit est beau et tellement poétique,
il m'a renvoyé à une époque bénie où l'on exprimait
ses doutes et ses sentiments avec pudeur...si joliment...
De belles rimes(abab)riches
Beau titre.
consignes presque ok, rimes abab respectées sauf dernier quatrain,
« ce que décidais » mal dit du coup on ne sait pas si c’est une faute ou non, si c’est « ce que je décidais » ou si c’est « ce qui fut décidé »
poème pas très fleuri mais l’on découvre la fleur et le bouquet à la fin
un joli poème mais dommage je trouve ces 2 passages mal dit « ce que décidais » et « tel qu’eu fait pendulier » le manque d’article ou de sujet me gène
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5 Printemps de mes quinze ans GABY... 8.62
En ce printemps où mes quinze ans
Effeuillaient blanches pâquerettes
J'espérais qu'avec peu de temps
Refleuriraient les violettes,
Tout, doucement, sont revenus
Les noirs corbeaux et puis les merles
Qui avec leurs gros becs cornus
Leurs yeux brillants telles des perles,
Les truites au dos irisé
Se faufilaient dans la rivière
Alors qu'un soleil argenté
Nous éclairait de sa lumière,
Soixante ans sonnent, il est tard
Là, tout au fond de ma mémoire
Que les matins se font blafards
Je me penche à mon écritoire.
Consignes respectées sans cette évocation poétique et quelque peu nostalgique, titre bien choisi
Un beau souvenir que votre printemps,
écrit avec aisance et talent.
Seule l'apparence change, la jeunesse est en nous,
ce qui nous permet d'aller toujours plus loin.
De belles rimes abab.
consignes respectées rimes« ABAB » ok, mais dommage juste une rime pauvre « irisé-argenté »
la prairie en fleur c’est assombrie avec le temps
un joli petit poème,
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6 Douces odes printanières ANGEPAPILLONNANOU...7.87
Fin avril, il fait sentir peu à peu son retour, le joli temps de belles floraisons,
Elles s’installent sous les premières lueurs fines aux fraîcheurs printanières,
Certains jours le bleu ciel reste couvert, faibles sont les éclaircies de la saison,
Le froid est encore très présent durant certaines journées à sa manière.
Ô, non, malgré les après-midi ensoleillées, je ne me découvrirais pas d'un fil !
Les hirondelles viendront chanter et annoncer la belle arrivée du printemps,
Dehors les odes fraîches et brises légères me bercent alors que les heures défilent,
Entre celles-ci et les tiédeurs zéphyriennes, j'aime tellement profiter du temps.
Un bouquet de diversités de couleurs au grè de la nature jaillît en beauté,
Les arbres recouvrent leurs belles couleurs qui font leurs plus bels habillages.
Ils semblent joliment bourgeonner avant d'y laisser la place aux fruits d'été,
Doucement, ceux-là mûriront à l'abri des petits espiègles malins entre les feuillages.
Des parfums délicats se mélangeront et viendront planer à nos atours pour nous embaumer,
Pourvu qu'ils se fassent sentir agréablement sous les chants d'oiseaux harmonieux et en accords,
Tant de cœurs se sentent ravivés en voyant la nature si belle à nouveau animée,
Toutes les couleurs, les senteurs avec authenticités y trouvent ensemble leurs accords,
Aux atours des fleurs et leurs cœurs, quelques abeilles et papillons butinent,
Afin qu'ils y puisent les bons sucs naturels avec lesquels, ils en sortiront du bon miel,
De temps à autre, ils partiront si haut dans l'azur ou seul le soleil divin culmine,
Ensemble, ils joueront à faire une course folle pour se ressourcer un peu au gré du ciel,
Sous mon regard s'étalent des oasis délicatement ornés de multiples couleurs,
Qu'offrent les grandes prairies où j'aime durant chaque printemps et été me prélasser,
Là, minute après minute, pas à pas, je m'attends à ressentir progressivement la chaleur,
À travers cette ballade printanière, je saisis le temps, le temps où j'ose me délasser.
Consignes respectées, toutefois « accords » rime avec « accords »…Suggestion : « toutes les couleurs, les senteurs avec authenticité y puisent leurs décors…
Répétitions : certains jours/certaines journées/ bons sucs/bon miel
Vers un peu longs, titre de douceurs printanières
Un beau titre, j'ai aimé votre poésie dépeignant joliment le printemps en fleur.
« Puisant de bons sucs naturels avec lesquels, il nous offriront saveur et qualité du miel.»
« Où j'aime chaque printemps ainsi qu'en été....» ( plus léger)
Attention aux répétitions de: accords, bon.
De belles rimes abab, dont quelques très riches.
Consignes c’est bon rimes abab respectées mais « accords-accords » la rime n’est pas bonne un mot ne peut rimer avec lui même,
« ô » mal utilisé, ainsi il signifie toi, ici il s’agit de l’exclamation « ho ! », « je ne me découvrirais »ne prend pas de « s » première personne du futur simple,
«avec authenticité» j’aurais mis au singulier car il n’y a qu’une authenticité
une ode bien printanière où tout ce qui fait le printemps est présent un peu pêle-mêle, les fleurs y sont aussi pour un printemps en fleurs
un poèmes avec de belles images, mais des vers un peu longs et donnent quelques lourdeurs dommage
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7 À l'aube du printemps. WILLIAMS LECORNIER...8.63
Afin de recouvrer de nouveaux paysages.
La nature a quitté son blanc-manteau d'hiver ;
Pour retrouver, enfin, tous les plus beaux feuillages.
Et se vêtir à neuf, dans un bel habit vert.
Jouissant pleinement, des douceurs naturelles,
Pendant cette saison, de rêve et de gaîté ;
Colorés de verdure et brodés de dentelles.
Dans de super tableaux, d'une sublimité.
Dans les parcs et jardins, quand l'hiver se repose,
On respire dans l'air, d'agréables senteurs ;
Du matin jusqu'au soir, le doux parfum de rose.
Inondant l'atmosphère et les forêts d'odeurs.
Sitôt que le printemps rendosse sa parure,
Qu'un simple vol d'oiseaux, vient relancer l'appel ;
On ne peut qu'admirer cette beauté si pure.
Qui décore l'azur, cela semble irréel.
On dirait que le temps s'arrête et s'éternise.
Formant dans le ciel bleu, un superbe décor ;
Dans un calme absolu, d'où la couleur s'irise,
Quand l'aube du matin baigne les épis d'or.
Consignes bien respectées, titre fort adapté pour cette évocation poétique
Un poème qui respire la contemplation et la sérénité
J'aime beaucoup l'image de votre dernier vers.
De jolies rimes abab
Suggestions:_
Tous ses plus beaux feuillages ….se vêtir de neuf...
dont la couleur s'irise...
Mettre une virgule après forêts....
Rimes croisées « ABAB » respectées avec en plus alternance F/M,
Pour le sujet « printemps en fleurs » vous décrivez l’arrivée d’un printemps aux odeurs de roses
un beau poème bien bucolique, mais j’aurais remplacé certains mots, je ne partage pas entièrement votre vision du printemps, trop idyllique, trop calme à mon goût, le printemps c’est la vie le renouveau, il y a pleins de bruits de chant d’oiseaux etc...
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8 Quand le printemps fleuri. WILLIAMS LECORNIER...8.72
Le temps a délaissé son climat de froidure.
Ses matins glacials, de frimas et de gel ;
Pour endosser sitôt toute cette verdure,
Dans un superbe habit, toujours plus solennel.
Dès que l'aube du jour, s'orne de couleurs pures,
Accompagné d'envols de jeunes passereaux.
On entend de partout, de doux chants en murmures.
Et voyant dans le ciel, flirter les tourtereaux.
Quand renaissent les fleurs et l'hiver se repose.
On ressent de l'air pur, de toutes les senteurs.
Et toute la douceur des pétales de rose ;
Parfumant les jardins de ses bonnes odeurs.
Pendant que le soleil, toujours plus haut, attise,
Paisible, tout s'endort, à l'horizon vermeil.
Dans un calme absolu, d'une légère brise,
Gardant incessamment tous nos sens en éveil.
Respect des consignes, harmonieux à souhait ! bravo
Poème lumineux, belle observation des oiseaux
Suggestions: pour votre 3ème quatrain
« Quand renaissent les fleurs, que l'hiver se repose, »
« On respire l'air pur, ainsi que leurs senteurs »
« L'on peut voir dans le ciel, fleurter les tourtereaux »
Ses bonnes odeurs ( celles de la douceur)
Dans votre titre fleurit est un verbe et non un adjectif donc t
Attention aux répétitions de: de...toute(s)
de belles rimes abab respectées
Le titre OK, de belles rimes croisées « ABAB » avec en plus alternance F/M et il me semble écrit en alexandrins,
« de ses bonnes odeurs » « ces » aurait été plus juste
Et oui le printemps fleuri, quand le printemps se réveil
un beau poème, mais j’aurai changé quelques articles dans le 3ème quatrain pour une meilleur lisibilité
suggestion :
« quand renaissent les fleurs, que l’hiver se repose » c’est plus logique
« on ressent cet air si pur de toutes les senteurs, par toute la douceur des pétales de roses »
et dernier quatrain :
« tout s’endort » pas vraiment plutôt tout se réveil et pour garder votre métrique tout renaît
**************
9 Printemps, vous avez dit printemps ! LURON1er...8.48
La samaritaine étant fermé,
Pour acheter des vers pour la pêche,
Au magasin du printemps, j’ai été charmé,
Trouver l’hameçon qui me donne la pêche.
Avec mes printemps, j’ai pris de l’âge,
Mais aujourd’hui, ma rivière est à sec,
C’était sûrement un mauvais présage,
La seule fleur est l’amorce d’une noix d'arec.
Si les lotus attendent une mise en eau,
La pluie ne s’attardant pas sur nos terres,
C’est qu’ici, le temps est trop beau,
Une solution les mettre dans la serre.
J’ai donc fini ma balade en jardinerie,
A choisir les fleurs des fruits du désert,
Pour qu’avec les vendeurs on en rit,
De goûter plus tard de merveilleux desserts.
Respect des consignes dans ce bel humour printanier
Une façon pleine d'humour de mêler printemps en fleur et âge...
Le questionnement de votre titre est une belle entrée en matière.
Respect des rimes abab,
Attention à la répétition de: pêche en votre 1er quatrain
La Samaritaine est un nom féminin donc fermée.
Le titre OK, rimes croisées « ABAB » respectées
sujet abordé avec humour, le, printemps de l’âge
une belle lecture
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10 Rendez-vous printanier ANGEPAPILLONNANOU... 7.5
Il aura suffit d'un bouton qui s'est à peine éclos en fleur,
Comme les vents s'abattaient sur l'immense nature,
Les nuages purs, ils ont progressivement séchés leurs pleurs,
La brise fraîche est venue passer au-dessus en filature,
Dans l'immense prairie, je vois des enfants à travers champs courir,
Se réfugier derrière les arbres, les premières feuilles, les cabanes, les amusent,
S'en improvisant des apprentis vétérinaires pour un papillon, un oiseau à secourir,
Devenir à leur aspect espiègle un trophée, voire une muse,
Un semblant de chaleur à chaque fois sort de nulle part et s'impose,
D'après quelques peaux déjà exposées par les premiers rayons du soleil,
Bien sûr, pour d'autres, il est probablement trop tôt pour qu'ils s'y exposent,
Les hirondelles reviennent sous le charme des journées printanières sans pareil,
Dans une saison aussi changeante, entre chaleur et fraîcheur,
La végétation sous les bords émerge en faisant jouer les ombres,
Les coquins et voleurs de pies et de geais chantent déjà dans les cœurs,
Que le ciel soit en pleine lumière pour devenir de plus en plus sombre.
Consignes respectées mais quelques lourdeurs…
« qui s’est à peine éclos en fleur »// qui est à peine devenu fleur
Pour plus de légèreté : les nuages purs qui ont progressivement séché leurs peurs,
« d’après quelques corps déjà exposés »…
Un joli tableau printanier
De belles rimes abab, respectées.
« à peine éclos et en fleur » font répétition
suggestions:
Supprimer ils (3ème vers,1er quatrain)
Mettre une virgule après : à travers champs, au-dessus,vétérinaire,espiègle,
et supprimer celle après cabanes....Point après filature.
«s'improvisant apprentis vétérinaires,»
« peaux déjà exposées » pour éviter la répétition avec s'y exposent,
En cette saison au lieu de: dans une.....« sous les bords » ? je n'ai pas compris.
Les coquins,voleurs de pies et de geais....Mettre entre guillemetsle dernier vers.
Rimes croisées « ABAB » respectées
« s’en improvisant des apprentis » mal dit « s’improvisant »,
« ils ont progressivement séchés » pas de « s »
vous avez associé printemps et printemps de l’âge dans votre poème
une lecture confuse, des vers trop long certaines formulations seraient à revoir
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11 Saveurs des souffles printaniers ANGEPAPILLONNANOU......7.61
À la volonté du ciel, les clairets azurs ont commencé à venir s'y étendre !
Les parfums émanent et se mêlent à la grâce du temps,
Je me vois en train de créer avec délicatesse ces bouquets aux coloris lumineux et tendres,
Cette saison où tout semble redémarrer, ces boutons floraux du beau printemps,
L'immensité de la belle nature a été ranimée par toutes ces couleurs,
Les arbres se revêtissent de leurs grands feuillages que les bises font danser,
Entre l'air encore un peu glacial et furtif zéphyr de première belle chaleur,
Doucement, je déambule parmi les pulsions ventées dont les rythmes étaient ambiancés,
Si les nouveaux parfums me permettent d'être apaisé,
Marchant au cœur de ce cadre fleurissant, je me souviens que les années passent,
Des fois, j'aime toujours aller aux coins qui existent encore pour me pavaner,
Si haut sur un rameau de cerisier fleuri, j'entends un couple de tourtereaux roucouler,
J'ai hâte que le printemps soit au rendez-vous avec ses délicats parfums de jasmin et de lilas,
Leurs senteurs parfumées ont traversé les ornements et embaumé les jardins et les terrasses,
Autour de moi, spectatrice devant la nature printanière, les hirondelles volent par-ci par-là,
Dans le bleu azur du ciel, j'observe paisiblement les avions voltigeurs en laissant leurs traces,
Entre tous les paysages changeants, agréables et beaux, à très court terme, je m'égare,
À travers toutes ces couleurs reflétant la douceur infinie de l'éternel printemps florissant,
Tous ces trésors émergeant à travers les prés tapissés de couleurs, vagabondent mon regard,
Prendre le temps de se sentir soi-même, de voyager avec des frissons, c'est enrichissant,
Écoutez à nouveau les jolis chants des oiseaux et les voir construire et faire leurs nids chaleureux,
Afin de pouvoir y accueillir sous leurs piaillements joyeux leurs jeunes oisillons,
Même pour une heure ou une journée ou plus, c'est beau de voir ce monde heureux,
Seulement pour entendre la nature de ces chants, oiseaux, cigales et grillons.
Dommage, dans le 3ème quatrain le ABAB n’est pas respecté, attention aux répétitions « beau printemps/ belle nature/ belle chaleur » et à la concordance des temps…A travers ce poème, toute l’étendue du printemps…
On se croirait au paradis
Belles rimes abab respectées, souvent riches.
Vers un peu trop longs donc difficiles à maîtriser.
Suggestions:
Les jardins et terrasses... « Dans l'azur bleu du ciel »
« Même pour une heure, une journée ou plus encor, qu'il est beau de....»
« ses chants d'oiseaux, de cigales et grillons »
Consignes c’est bon pour les rimes ABAB sauf dans votre 3ème quatrain où« passe » pas de rime et rime pauvre en é pour les autres
un printemps fleuri venté, un brin de fraîcheur
un poème qui débute bien, mais des vers trop longs et confus
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12 Ainsi va le printemps. WILLIAMS LECORNIER...9.05 médaille d'argent
La nature a remis une robe nouvelle.
Comme à chaque saison quand revient le printemps.
Par sa grâce et son charme, elle nous interpelle.
Tous les jours, un peu plus, depuis la nuit des temps.
Du matin jusqu'au soir, c'est la métamorphose.
Quand vient l'aube du jour, aux premières lueurs,
On respire déjà, le parfum de la rose.
Embaumant tous les champs, de bien-être et d'odeurs.
À l'heure ou l'horizon prend sa couleur vermeille,
On voit se dessiner une telle beauté.
Refleurissent les fleurs et l'aube s'émerveille,
Annonçant les beaux jours, d'un prochain bel été.
Sous un ciel lumineux, nuances d'aquarelles,
On ne peut qu'admirer tout ce réel bonheur.
Qui vient nous rappeler les douceurs éternelles.
Reflet du renouveau dans toute sa splendeur.
Respect de consignes et très belle évocation du printemps !
J'aime le titre.
Quelle aisance d'écriture, quel bonheur de vous lire.
Belles rimes abab, de beaux alexandrins non imposés
Un seul mot : Bravo !
( Peut-être un point d'exclamation au titre? )
consignes rimes croisées abab c’est bon, de plus avec alternance F/M et en alexandrin,
le printemps une métamorphose où refleurissent les fleurs
une lecture agréable sans accrocs
****************
13 Charrette printanière PAT38000...........9.25 médaille d'or
Au bord d’un lac...Au-delà de l’horizon
Un ballet de cygnes auréole la nuit...
L’ombre en vague candide donne le ton
Baignant leurs larmes dans un puits …
Lorsqu’arrive l’élégance d’un courant
Un tintement de clochettes porcelaine
L’unique parfum du muguet au vent
Offre son bouquet à la souveraine …
Les fleurs en grappes roses du cépage
Courtisent la douceur du printemps
Un cœur-Marie ouvre son corsage
Et accueille le mirifique amant…
La farandole aux boutons d'or
Chatouille le menton des enfants
Leurs fous-rires incoercibles trésors
Flattent le nez du clown extravagant…
Ainsi la charrette parcourt le monde
Charger d'une mélodie au précieux nectar
Colonise la terre fertile et ronde
D’une saison parfaite son œuvre d’art…
Consignes respectées, titre bien choisi pour ce corso de fleurs !
« chargée »
De magnifiques images, bien poétique !
Beau titre, belle conclusion.
Superbe! une aisance, une élégance à l'écrit,
donnant naissance à de belles images...
La vie dans un papier de soie...
Belles rimes abab
(Lors-qu'arrive)
Peut-être une virgule, après parfaite.
Le titre OK, rimes croisées « ABAB »c’est bon mais beaucoup de rimes suffisantes
« charger d’une... » c’est la charrette qui est chargée donc « ée »
une belle charrette fleurie comme celle d’un corso fleuri qui parcourt le monde apportant le printemps, de belles références aux fleurs
un bel écrit original, une belle lecture
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14 Cirque en fête PAT38000.....8.28Le printemps figure de porcelaine
Souffle à l’enfant son aigrette,
Graines éphémères au vent de scène
Parachute au mille et une girouettes.
Le premier décor est planté ,
La fleur du muguet sauvage
S’acclimate aux doigts de fée,
Farandole... le bonheur déménage .
Lumière…un nez rouge sur la piste
Éclate un bouquet étagé de ballons,
De larmes étoilées du clown artiste
A son cœur l’archet magique du violon .
La charrette au puits des sourires
Auréole sa mélodie au claire prime.
La vague de rires en fous-rires
Sous la main du maitre s'affirme.
L’ombre tombe sur l’horizon
Au-delà des révérences de la flore,
Reviendra à la prochaine saison
L’élégance du cygne au collier d’or.
Respect des consignes, « aux mille et une »/ à la claire prime »
Toute la gaité et l’air du printemps dans ce titre et ce poème
De belles métaphores émaillent votre poème. J'aime le titre
Que ce vers est splendide « l'élégance du cygne au collier d'or.»
Merci pour cette belle lecture
De belles rimes abab
Le titre OK ,rimes croisées « ABAB »mais des rimes pauvres et suffisantes et « prime et affirme » la rime est fausse, dommage
un joli poème qui commence certes par « le printemps » mais je trouve qu’on s’éloigne un peu du sujet
un poème original, une belle lecture cependant
HORS CONCOURS
Premier jour de printemps. POETELUNAIRE
Avènement céleste, éclair originel
Fais-tu le jour la nuit, étrange paradigme
L'amour, la mort, la fleur, opium sensuel
Étant cet indicible ouvre moi cette énigme,
Tant de matins encor à entrevoir l'agnel
Sur l'océan plonger au dédale d'un stigme
Encor une fois, oui, pour finir éternel ;
Où d'une vague haute en refait tout l'ænigme
Si passent les saisons et puis autant d'automnes
De ce joli plaisir, de ce merveilleux tour,
Quand sommeille l'hiver chaque fois, tu m'étonnes
Bel amour de printemps, à naître avec le jour,
Figes-tu le soleil où fais-tu que l'aurore
Dans tes tissus de soie, arrive à contre-jour
Semblant ne pas mourir et sa lumière éclore
J'aime ça, deviner, ce si sublime amour.
Stigme. Mathématiques. Parcours des arêtes d'un graphe sans recoupement
Ænigme, autre orthographe de énigme.
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Quand sonne l'heure du grand éveil...LYSPeu à peu, les champs se parent d'or sur vert tendre,
Le soleil balaie la terre, explose tel un enchantement.
Dans le cerisier en fleurs, les oiseaux se font entendre,
En haut du bouleau, les pies tissent un nid savamment...
Les abeilles endormies s'éveillent au bord de la fenêtre,
Au loin s'élève le chant répétitif du coucou, annonçant
La renaissance aux habitants d'un berceau champêtre,
Mais un grand souffle parfumé se prépare, menaçant ...
La pluie tant attendue par le paysan, s'est enfin libérée
Sur les semailles d'hier, la jacinthe bleue tapisse les bois,
La jonquille fait place à la cloche du muguet défroissée,
Je vole vers les brassées odorantes des lilas d'autrefois...
Jeunesse sans cesse renouvelée après mainte et mainte
Péripéties, tu arrives par la voie de l'air, amoureusement,
Puis, reprenant tes palettes de couleurs, sans une plainte,
Tu repeins le sourire de la planète aux cheveux d'argent...
Sur grand écran, les senteurs printanières tourbillonnent,
Déposent malicieusement une belle promesse qui fleurit,
L'atmosphère s'est emplie d'amour et cupidon fanfaronne
J'entrevois le temps des espérances infinies qui nous bénit...
Les arabesques du ciel m'offrent un spectacle grandiose!
Souvenir ne me quittes plus sous l'astre qui m'émerveille.
Corps et âme, avec la flore et la faune je suis en symbiose
J'aspire à la sérénité quand sonne l'heure du grand éveil...
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Florilège du renouveau LlumierelivexxlLa nature se vêt de soyeux apparats
Sous calorescence de gammes chatoyantes,
Se drapant de jade, safran et gardénia
La vie s’affine en résonances flamboyantes,
Un voilage éthéré de tulle céladon
Se déploie en auréole de jouvencelle,
Sous l’étincelle pré feutrée d’un Cupidon
Les branchages étendent verdoyance nouvelle,
Les talus jusqu’alors laissés à l’abandon
Se donnent offrande d’herbe folle et sauvageonne,
Parsemée d’une flore rustique et chardons
La végétation en renaissance bourgeonne,
Les couleurs fredonnent en des bouquets de senteurs,
Dame printemps bâtit son nid avec patience
Sous l’approbation d’un éternel bienfaiteur
Symbole de persistance et persévérance,
Buissons, amandiers, pêchers tout en floraison
Comme en miracle ils ont vaincus le gel austère,
Cerisiers en manchon lilial à l’horizon,
Jacinthes, crocus, bleuets germent de terre,
Belle saison tu laisses apparaitre l’espoir,
Ravivant de nos mémoires les souvenances
Des caresses brulantes dépourvues de noir
Sous les raffinements d’arpèges d’allégeances.
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Terre en fleurs... Je t'aime. LysBonjour! Ce matin, j'ouvre les yeux sur un monde nouveau,
Aujourd'hui ne sera plus comme hier, la flore s'éveille...
La sève monte dans la vieille écorce penchée sur l'eau,
Je rêve de nouveaux horizons, de paix et de merveilles...
La douceur incertaine d'Avril a préparé son or,
L'explosion florale, dissipe les caprices de l'astre,
Lance un appel aux musiciens du ciel, à grand renfort,
La faune se tapit dans l'ombre, craint encor le désastre.
Museaux levés, hument l'effluve parfumé du Printemps.
Les haies d'aubépine se couvrent comme neige éternelle,
Le cortège des lilas nous offre un tableau à mi-temps,
En secret les clochettes blanches préparent leur dentelle...
Terre, Ô Terre si précieuse, sans toi, que serions nous ?
Tes armées en fleurs se sont délicatement pomponnées,
Tes chemins reverdissent, où chats et lapins font les fous.
Pour un instant seulement, arrêtez-vous sous la ramée...
Horloge du temps, tournes doucement, laisses-moi rêver
Comme autrefois, j'aimerais tant courir sur tes herbes folles,
Le bleu myosotis, la violette et le muguet, débusquer.
Terre en fleurs, comme je t'aime, j'entends rire tes corolles...
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Quand sonne l'heure printanière du souvenir... LysBeau fleuve d'argent, toi qui te pavanes au soleil,
Tes prairies poussées par le vent courbent l'échine,
Leurs chevelures ébouriffées, teintées d'or vermeil,
Sont tel présent céleste et nocturne qui me fascine.
Le « grand maître » a semé ses frêles boutons d'or,
Et la terre s'éveille aux tendres caresses de l'astre,
La voix de son ange anéantit l'angoisse de la mort,
L'hiver et sa blessure disparue, chasse le désastre!
Du cœur terrestre, je crois entendre les battements,
Son chant de vie se promène sur les arbres en fleur,
L'espérance explose et libère mille doux sentiments...
La sève nourricière répand la promesse du bonheur,
Que cette venue miraculeuse à l'infini se renouvelle.
Quand sonne cette heure printanière, je me souviens
Des facettes d'une existence que je croyais éternelle,
De ses pleurs et de ses rires pour de tout petits riens.
Malgré mes pensées désordonnées, je suis rassurée
Par ce tableau idyllique où refleurissent les amours,
Où la faune et flore confondues retrouvent l'empyrée,
J'irai sereine, boire à la coupe du rêve pour toujours...
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Refleurissent les roses. WILLIAMS LECORNIER
Voici venu le temps, d'aller cueillir la rose.
Dans le cœur des jardins de toutes les senteurs ;
Dans lesquels la saison se met en symbiose,
Avec les jours fleuris, aux multiples couleurs.
Et d'admirer enfin l'envol des hirondelles,
Ainsi, se libérer de cet affreux manteau ;
Afin de se vêtir d'une robe nouvelle,
Sous l'air mélodieux, de tous ces concertos
Refleurissent les fleurs, des belles jardinières,
Redonnant aux printemps, une sublimité ;
Parfumant les matins des odeurs printanières,
Ses milliers de décors, dans toute sa beauté.
Lorsque le ciel d'azur s'orne de couleurs pures,
On peut voir les sous-bois sortir de leur sommeil ;
Entendre de partout des doux chants en murmures,
Lorsque l'aube se lève à l'horizon vermeil.
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Le vert printemps des modérateurs en vers.
Tous ensemble, dans le rose de mon cyclamen,
Présentons en quelques fleurs le nouveau printemps,
Une dépêche qui chaque année, le cycle amène,
Pour faire l’écho à hiver, le ravigotant.…………................... Luron1er
Sur les vifs nuanciers de leurs pétales
Les jonquilles se pétillent d’or acidulé,
Les coquelicots s’évadent de leurs sépales,
Bleuets et muscaris chantent l’azuré………………Llumierelive xxl
Alors ça y est ? Le printemps est arrivé ?
La lumière admet que je me trompe,
J'ai pas le temps, un cerisier à soigner,
Cette même lumière qui le soir m'estompe,………… Matthale
Printanières les fleurs tricolores ont envahi la rue,
Le timide bleuet sous le vent est encor trop discret,
Il soupire en apercevant la blanche clochette émue,
Au charme du rouge pavot à l’œil noir si coquet...................Lys
Le printemps nous apporte ses odeurs de violettes,
De roses et de lilas, de muguet et de révolution,
Comme des jeunes filles en fleur vont follettes,
Nous semons nos rêves et espoirs avec passion,….Zuc
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