Princesse était ton nom
Tu savais te faire aimer de tous
Et à chaque caresse,
Tu donnais ta tendresse
Tu étais le soleil des petits
Et le réconfort des grands
A qui tu léchais les larmes
A la moindre tristesse
Tu as fait des chatons
Qui ont tous grandi
Perpétuant ainsi la beauté
Reçue de ton créateur
Je revoie ta frimousse
Et je sens encore dans ma peau
Pénétrer tes griffes
Lorsque de plaisir, tu ronronnais
Aujourd’hui tu nous as quittés
Et il me semble encore te voir
Derrière la porte le matin
Ou sur les bras d’un gamin, le soir
Ton petit nez blotti
Dans le creux de mon bras
Ton corps affalé sur le coffre de la voiture
Ton pelage sous la main d’un enfant
Ta manie de rester dans le garage
Ou de redescendre en vitesse
Après être entrée en cachette
Et tes galipettes vont nous manquer
Princesse, ton nom retentit dans le cœur
De tous ceux dont tu as traversé la vie
Je t’offre la couronne bien méritée
Là, au paradis où tu t’en vas
Tu savais te faire aimer de tous
Et à chaque caresse,
Tu donnais ta tendresse
Tu étais le soleil des petits
Et le réconfort des grands
A qui tu léchais les larmes
A la moindre tristesse
Tu as fait des chatons
Qui ont tous grandi
Perpétuant ainsi la beauté
Reçue de ton créateur
Je revoie ta frimousse
Et je sens encore dans ma peau
Pénétrer tes griffes
Lorsque de plaisir, tu ronronnais
Aujourd’hui tu nous as quittés
Et il me semble encore te voir
Derrière la porte le matin
Ou sur les bras d’un gamin, le soir
Ton petit nez blotti
Dans le creux de mon bras
Ton corps affalé sur le coffre de la voiture
Ton pelage sous la main d’un enfant
Ta manie de rester dans le garage
Ou de redescendre en vitesse
Après être entrée en cachette
Et tes galipettes vont nous manquer
Princesse, ton nom retentit dans le cœur
De tous ceux dont tu as traversé la vie
Je t’offre la couronne bien méritée
Là, au paradis où tu t’en vas