PREMIER VOYAGE AU BOUT DE L’AMOUR
Désirant vraiment te connaître,
C’est sans appréhension, vers Cancale,
Que dans l’espoir de renaître,
Face à la mer, on fit escale.
A Cancale, je suis devenue ta princesse,
Dans cet hôtel charmant, vue sur la mer,
Si belle ce soir-là, avec ses reflets de lumière,
J’ai retrouvé une seconde jeunesse.
Tous les deux, sur le balcon,
Blottie contre ton épaule,
On s’est laissé bercer par nos premières émotions.
La vue nous incitait à la tendresse, à la sensualité,
Notre lit était devenu notre paradis,
Sous un clair de lune étoilée,
Pour la première fois, j’ai pris mon envol.
Emue de tant de tendresse partagée,
Nous en avions oublié la pluie.
Comme la mer nous emportait dans sa tourmente,
Nous nous sommes retrouvés, enlacés sur le lit.
Ton regard concupiscent me déshabille,
Ma chemise de nuit s’évapore sous tes mains caressantes,
Réveillant en moi, des désirs oubliés.
Nos deux corps d’envie, impatients, frétillent.
Cette nuit m’a révélée, telle que je suis.
Un enfant naïf, comme tu l’aimes,
Une maîtresse, quand je suis dans ton lit,
Une mère, lorsque tu doutes, qui te rassure,
J’aimerais que tous ces instants précieux durent,
Car je t’ai dévoilé mes pensées les plus secrètes.
Depuis notre rencontre, tu m’as appris tant de choses.
Prise au piège de tes mains expertes,
Tu m’as guidé sans aucun complexe,
Tout doucement, je suis sortie de ma coquille,
Qui jour après jour, se fendille,
Pour m’épanouir à travers toi, comme une rose.
Même si tu es quelquefois perplexe,
En te donnant le meilleur de moi-même,
Généreuse, j’aimerais te nourrir de toute ma tendresse,
En t’offrant sans demi-mesure, mon reste de jeunesse,
Puisque tout simplement, je t’aime…
Désirant vraiment te connaître,
C’est sans appréhension, vers Cancale,
Que dans l’espoir de renaître,
Face à la mer, on fit escale.
A Cancale, je suis devenue ta princesse,
Dans cet hôtel charmant, vue sur la mer,
Si belle ce soir-là, avec ses reflets de lumière,
J’ai retrouvé une seconde jeunesse.
Tous les deux, sur le balcon,
Blottie contre ton épaule,
On s’est laissé bercer par nos premières émotions.
La vue nous incitait à la tendresse, à la sensualité,
Notre lit était devenu notre paradis,
Sous un clair de lune étoilée,
Pour la première fois, j’ai pris mon envol.
Emue de tant de tendresse partagée,
Nous en avions oublié la pluie.
Comme la mer nous emportait dans sa tourmente,
Nous nous sommes retrouvés, enlacés sur le lit.
Ton regard concupiscent me déshabille,
Ma chemise de nuit s’évapore sous tes mains caressantes,
Réveillant en moi, des désirs oubliés.
Nos deux corps d’envie, impatients, frétillent.
Cette nuit m’a révélée, telle que je suis.
Un enfant naïf, comme tu l’aimes,
Une maîtresse, quand je suis dans ton lit,
Une mère, lorsque tu doutes, qui te rassure,
J’aimerais que tous ces instants précieux durent,
Car je t’ai dévoilé mes pensées les plus secrètes.
Depuis notre rencontre, tu m’as appris tant de choses.
Prise au piège de tes mains expertes,
Tu m’as guidé sans aucun complexe,
Tout doucement, je suis sortie de ma coquille,
Qui jour après jour, se fendille,
Pour m’épanouir à travers toi, comme une rose.
Même si tu es quelquefois perplexe,
En te donnant le meilleur de moi-même,
Généreuse, j’aimerais te nourrir de toute ma tendresse,
En t’offrant sans demi-mesure, mon reste de jeunesse,
Puisque tout simplement, je t’aime…