Présence ancestrale
Au-delà de la nue écoute une présence
Un bel ange à dessein vous invite au bonheur,
Vous faut-il espérer sa vision du cœur ?
Au bon soin de la vie égalant sa puissance.
Si jamais dans l’oubli vous paraît l’insolence
Poursuivant le chemin d’un ignoble seigneur,
Sur ces vers malheureux qui dérange l’honneur
Des échos médisant en aveugle l’essence.
Et j’aimerai combattre au courroux pourfendant
Qu’étincelle une aurore en son rai débordant
Dans l’angle du méfait de celui qui me blesse.
En dépit de mon âme où s’invite un matin
Le cri de ma douleur ne donne aucun festin
Me faut-il présumer les dégâts d’une ivresse ?
Maria-Dolores.
Au-delà de la nue écoute une présence
Un bel ange à dessein vous invite au bonheur,
Vous faut-il espérer sa vision du cœur ?
Au bon soin de la vie égalant sa puissance.
Si jamais dans l’oubli vous paraît l’insolence
Poursuivant le chemin d’un ignoble seigneur,
Sur ces vers malheureux qui dérange l’honneur
Des échos médisant en aveugle l’essence.
Et j’aimerai combattre au courroux pourfendant
Qu’étincelle une aurore en son rai débordant
Dans l’angle du méfait de celui qui me blesse.
En dépit de mon âme où s’invite un matin
Le cri de ma douleur ne donne aucun festin
Me faut-il présumer les dégâts d’une ivresse ?
Maria-Dolores.