La vie est merveilleuse, on ressent le printemps
Sous le soleil d’hiver un rosier s’illumine,
La chaleur de mon âme au souvenir du temps
Se souvient d’une larme où l’éther vient chemine,
Dans mon cœur adouci l’on y voit un bouquet
Qui ne vient rien troubler sous l’essence qui pose
Le silence des murs dévoilant un bosquet
Qui s’invite bien seul au parfum d’une rose.
Sous le ciel du midi le soleil apparaît
Éblouissant l’instant, la chaleur d’une ivresse
Dans le souffle du vent que respire l’attrait
La saison incrédule apporte sa caresse.
Sous le soleil d’hiver un rosier s’illumine,
La chaleur de mon âme au souvenir du temps
Se souvient d’une larme où l’éther vient chemine,
Dans mon cœur adouci l’on y voit un bouquet
Qui ne vient rien troubler sous l’essence qui pose
Le silence des murs dévoilant un bosquet
Qui s’invite bien seul au parfum d’une rose.
Sous le ciel du midi le soleil apparaît
Éblouissant l’instant, la chaleur d’une ivresse
Dans le souffle du vent que respire l’attrait
La saison incrédule apporte sa caresse.
Maria-Dolores