Pourquoi ma plume
Pourquoi ma plume, tu réveil mes douleurs
Pourtant au font de moi-même je t’ai juté
Avec tes mots tristes, tu blesse mon cœur
Comment ose tu me faire ça, vielle plume usée
J’ai bercé toute ce temps là, mes douleurs
Pour que je puise vivre, et voir un jour ma fille
Même si tu es plume d’un condor
Laisse mes douleurs, car je l’ais y apprivoisés
L’hiver est la et pourtant
Dans mon cœur ne m’a jamais quitté
Il pleut en moi, des gouttes en feu
Ni l’eau des mers, même les pluies
Peuvent éteindre les flammes de mes fonts
Depuis que ma fille est née
Là-bas et loin de mes yeux
Tristement sans moi elle grandit
je demande à ma fille pardon
Je veux voir, ton brillant visage
Avant le noir, et le froid du tombeau
La chance me fuit, loin au large
Pour te chéri, hélas je n’ai plus de temps
Viens ma fille viens mon ange
Laisse mes bras sentir ta peux
Peut-être que mon destin change
Malgré ma douleur et les blessures du temps
Je veux le soleil qu’elle cesse la neige
Il pleut dans mon cœur, des gouttes en feu
L’absence augmente ma colère et ma rage
Je veux la paix ne cesse que pour quelque temps
Je veux chasser les noirs nuages
Mais je ne sais vraiment pas comment
Tu es loin de moi, mon cœur naufrage
Dans la tristesse, et l’absence qui tue
Depuis cette tempête, et les sombres nuages
Ma fille est née, loin de mes yeux
Pour m’exprimé, douleur comme langage
Il me faut qu’elle genre de mots
Des mots tristes puisés de ma rage
Hélas cela depuis seize ans
Faible je le suis hélas avec l’âge
Mes mains tremblent, quand j’écris ton nom
La santé s’en va, ainsi que le courage
Epuisé je le suis, je demande pardon
Certes, la mort me guette elle murmure
Me reste hélas peu de temps
C’est pour ça chaque soir mon cœur
Invente hélas des tristes mots
Car, ma douleur a vaincu l’amour
Que j’avais autrefois dans mes fonts
Mort je le suis, ainsi es mon cœur
Assassiné par la trahison
Je t’aime ma fille je t’aime très fort
Malgré que tu vis loin de mes yeux
A bientôt j’espère
Pourquoi ma plume, tu réveil mes douleurs
Pourtant au font de moi-même je t’ai juté
Avec tes mots tristes, tu blesse mon cœur
Comment ose tu me faire ça, vielle plume usée
J’ai bercé toute ce temps là, mes douleurs
Pour que je puise vivre, et voir un jour ma fille
Même si tu es plume d’un condor
Laisse mes douleurs, car je l’ais y apprivoisés
L’hiver est la et pourtant
Dans mon cœur ne m’a jamais quitté
Il pleut en moi, des gouttes en feu
Ni l’eau des mers, même les pluies
Peuvent éteindre les flammes de mes fonts
Depuis que ma fille est née
Là-bas et loin de mes yeux
Tristement sans moi elle grandit
je demande à ma fille pardon
Je veux voir, ton brillant visage
Avant le noir, et le froid du tombeau
La chance me fuit, loin au large
Pour te chéri, hélas je n’ai plus de temps
Viens ma fille viens mon ange
Laisse mes bras sentir ta peux
Peut-être que mon destin change
Malgré ma douleur et les blessures du temps
Je veux le soleil qu’elle cesse la neige
Il pleut dans mon cœur, des gouttes en feu
L’absence augmente ma colère et ma rage
Je veux la paix ne cesse que pour quelque temps
Je veux chasser les noirs nuages
Mais je ne sais vraiment pas comment
Tu es loin de moi, mon cœur naufrage
Dans la tristesse, et l’absence qui tue
Depuis cette tempête, et les sombres nuages
Ma fille est née, loin de mes yeux
Pour m’exprimé, douleur comme langage
Il me faut qu’elle genre de mots
Des mots tristes puisés de ma rage
Hélas cela depuis seize ans
Faible je le suis hélas avec l’âge
Mes mains tremblent, quand j’écris ton nom
La santé s’en va, ainsi que le courage
Epuisé je le suis, je demande pardon
Certes, la mort me guette elle murmure
Me reste hélas peu de temps
C’est pour ça chaque soir mon cœur
Invente hélas des tristes mots
Car, ma douleur a vaincu l’amour
Que j’avais autrefois dans mes fonts
Mort je le suis, ainsi es mon cœur
Assassiné par la trahison
Je t’aime ma fille je t’aime très fort
Malgré que tu vis loin de mes yeux
A bientôt j’espère