POUR UNE MIDINETTE !
Je sais que la vie à deux est bien fragile,
L’amour s’en va comme les vagues déferlantes,
Tu m’as quitté sur un coup de tête,
Sur la jetée de Marie-Galante.
Bien sûr, qu’il me sera difficile,
D’oublier toutes les peines que tu m’as faites.
Tu es parti pour une jeune amourette,
Aux airs provocateurs,
Tu as brisé mon cœur.
Elle avait l’âge de ta fille,
Avec ses airs de midinette,
Elle a détruit tout ce qui était ma vie.
Comment font toutes les autres,
A qui tout réussit !
Tu es parti les mains dans les poches,
Sans me faire aucun reproche.
Que vais-je faire de ma vie,
Je suis révoltée d’autant de désinvolture,
Je suis malade de subir une telle injure…
Tu disais m’aimer, encore un de ces mensonges,
Auquel je survivrai, jusqu’à te maudire,
Insouciant, tu m’abandonnes à mes songes.
Ton absence me fera souffrir,
Que vais-je devenir ?
Moi, qui n’avait d’yeux que pour toi,
Aurais-je assez de patience,
Tu t’es bien moquée de moi…
Aurais-je assez de patience,
Pour survivre à ton désir d’aventure ?
Comment soulager toutes ces blessures !
Moi qui n’aimait que toi,
Tu me laisses seule avec mon désarroi,
Seul le temps pourra apaiser mes blessures.
Je sais que la vie à deux est bien fragile,
L’amour s’en va comme les vagues déferlantes,
Tu m’as quitté sur un coup de tête,
Sur la jetée de Marie-Galante.
Bien sûr, qu’il me sera difficile,
D’oublier toutes les peines que tu m’as faites.
Tu es parti pour une jeune amourette,
Aux airs provocateurs,
Tu as brisé mon cœur.
Elle avait l’âge de ta fille,
Avec ses airs de midinette,
Elle a détruit tout ce qui était ma vie.
Comment font toutes les autres,
A qui tout réussit !
Tu es parti les mains dans les poches,
Sans me faire aucun reproche.
Que vais-je faire de ma vie,
Je suis révoltée d’autant de désinvolture,
Je suis malade de subir une telle injure…
Tu disais m’aimer, encore un de ces mensonges,
Auquel je survivrai, jusqu’à te maudire,
Insouciant, tu m’abandonnes à mes songes.
Ton absence me fera souffrir,
Que vais-je devenir ?
Moi, qui n’avait d’yeux que pour toi,
Aurais-je assez de patience,
Tu t’es bien moquée de moi…
Aurais-je assez de patience,
Pour survivre à ton désir d’aventure ?
Comment soulager toutes ces blessures !
Moi qui n’aimait que toi,
Tu me laisses seule avec mon désarroi,
Seul le temps pourra apaiser mes blessures.