Ton visage est trop vaste, à tout, elle est liée
Je ne peux prononcer ton nom qui, bien te sied
Car tu appartiens à chacun mais alors tout entier !
Pour Toi s’éteint ma vie !
Alors qu’avec fougue circulaient en nos veines
Nos sentiments d’Amour de chagrins ou de haine
Et qu’une aube étoilée lustrait nos lendemains,
Cette aurore attaquée murmure un beau matin
Que le sort est jeté sur les doigts de mes mains
Enchaînées sous le joug d’un crépuscule éteint !
Nos sentiments d’Amour de chagrins ou de haine
Et qu’une aube étoilée lustrait nos lendemains,
Cette aurore attaquée murmure un beau matin
Que le sort est jeté sur les doigts de mes mains
Enchaînées sous le joug d’un crépuscule éteint !
Je t’ai donné ma vie hurlant ce que tu es
Et t’ai souri enfin dans un dernier soupir !
Je savais que la fin ne serait pas « tuez »
Te voyant rayonner dans un proche avenir.
Et t’ai souri enfin dans un dernier soupir !
Je savais que la fin ne serait pas « tuez »
Te voyant rayonner dans un proche avenir.
« Oui, j’ai hurlé
« Devant la mort
« Devant la mort
« Et crie encore
« Ce que tu es »,
« Ce que tu es »,
Liberté ! Liberté ! Liberté
Dans un dernier hallali !
Dans un dernier hallali !
Quand l’écho du symbole unique souverain
Repasse sur l’emblème ton nom pour tout refrain,
Que tu sois Aube, Aurore ou Crépuscule du soir,
Tu cristallises l’air d’étoiles laissant choir
Sa beauté messagère étendre ton diamant
Et sur notre univers l’éclat du firmament !
Repasse sur l’emblème ton nom pour tout refrain,
Que tu sois Aube, Aurore ou Crépuscule du soir,
Tu cristallises l’air d’étoiles laissant choir
Sa beauté messagère étendre ton diamant
Et sur notre univers l’éclat du firmament !
Ecrit le 8 mai 2009
Polymnie2, ce 10 Novembre 2018