La voilà de nouveau ma douce inspiration,
La Muse mon amie, mon affidée compagne...
Je la sens attiser la passion qui me gagne
De noircir le papier qui demeurait chiffon...
Il me plait quelque fois de ne savoir quoi dire,
D'écrire sans envie, ni sans grande pensée,
De laisser les idées au gré de mes soupirs,
Virevolter ainsi sur le vierge papier...
Vois comme il s'agite pris d'une frénésie!
L'encre coule avide d'avoir séché d'ennui!
La pensée se fait mots et la plume s'affole,
Je sens grandir l'envie d'écrire quelques paroles...
La Muse mon amie, mon affidée compagne...
Je la sens attiser la passion qui me gagne
De noircir le papier qui demeurait chiffon...
Il me plait quelque fois de ne savoir quoi dire,
D'écrire sans envie, ni sans grande pensée,
De laisser les idées au gré de mes soupirs,
Virevolter ainsi sur le vierge papier...
Vois comme il s'agite pris d'une frénésie!
L'encre coule avide d'avoir séché d'ennui!
La pensée se fait mots et la plume s'affole,
Je sens grandir l'envie d'écrire quelques paroles...