Papi,
Autant de mots, de pleurs et de souffrance,
Ne suffiront pas à expliquer,
Le bonheur et le sens de la vie
Que tu m’apprenais.
Un mois et quelques semaines,
Je n’arrive pourtant toujours pas à y croire,
On me dit que c’est la vie,
Moi je pense que c’est une triste histoire,
Et je te vois, tu me souris.
Comme vendredi, le jour de ton hommage, je le dis
Madou et toi m’avez appris : l’amour, le respect et la tolérance.
J’aurais voulu être toi si je n’étais pas une femme,
Tu étais mon confident, conseiller et plus grand admirateur,
Dans les moments durs,
Tu me réconfortais.
J’espère que ce qui fait aujourd’hui ma tristesse,
Sera un jour ma force,
Et ma volonté d’avancer.
Je sais que c’est idéalisé,
Mais le soir je te vois,
Tu es mon étoile,
L’homme formidable que tu étais,
Brille seulement dans la nuit,
Mais ne cessera jamais d’éclairer ma vie.
Autant de mots, de pleurs et de souffrance,
Ne suffiront pas à expliquer,
Le bonheur et le sens de la vie
Que tu m’apprenais.
Un mois et quelques semaines,
Je n’arrive pourtant toujours pas à y croire,
On me dit que c’est la vie,
Moi je pense que c’est une triste histoire,
Et je te vois, tu me souris.
Comme vendredi, le jour de ton hommage, je le dis
Madou et toi m’avez appris : l’amour, le respect et la tolérance.
J’aurais voulu être toi si je n’étais pas une femme,
Tu étais mon confident, conseiller et plus grand admirateur,
Dans les moments durs,
Tu me réconfortais.
J’espère que ce qui fait aujourd’hui ma tristesse,
Sera un jour ma force,
Et ma volonté d’avancer.
Je sais que c’est idéalisé,
Mais le soir je te vois,
Tu es mon étoile,
L’homme formidable que tu étais,
Brille seulement dans la nuit,
Mais ne cessera jamais d’éclairer ma vie.