Il y a ici des Hommes que je ne finis d’exécrer,
Être dans l’expectative de frivoles promesses
Les regards de la hauteur,Ô pieuse hardiesse,
De bénédictions vantardes, onctueux soluté .
Il y a ici des Hommes que je ne finis d’exécrer,
Les bannis de la morale, esseulés parias châstes
Ne se proliférant génétiquement, ilotes néfastes
N’assurant le destin des hommes et sa perpétuité.
Il y a ici des Hommes que je ne finis d’exécrer,
Par leur bétise ou de basses voix d’intolérance
La plaie des ignards en somme jamais ne panse,
Mais pensent de raison afficher leur médiocrité.
Il y a ici des hommes que je ne finis d’exécrer,
Précheurs et idolatres des maussades malheurs
Ne prenant foi et joie qu’en fuligineux labeurs,
Apôtres de sournoiseries des armes aiguisées.
Il y a ici des hommes que je ne finis d’exécrer,
Le mépris que je leur dévou n’a d’énumération
Mais il y en a un à qui je dispose mon attention :
Sans doute suis-je à jamais cet homme que je hais
Être dans l’expectative de frivoles promesses
Les regards de la hauteur,Ô pieuse hardiesse,
De bénédictions vantardes, onctueux soluté .
Il y a ici des Hommes que je ne finis d’exécrer,
Les bannis de la morale, esseulés parias châstes
Ne se proliférant génétiquement, ilotes néfastes
N’assurant le destin des hommes et sa perpétuité.
Il y a ici des Hommes que je ne finis d’exécrer,
Par leur bétise ou de basses voix d’intolérance
La plaie des ignards en somme jamais ne panse,
Mais pensent de raison afficher leur médiocrité.
Il y a ici des hommes que je ne finis d’exécrer,
Précheurs et idolatres des maussades malheurs
Ne prenant foi et joie qu’en fuligineux labeurs,
Apôtres de sournoiseries des armes aiguisées.
Il y a ici des hommes que je ne finis d’exécrer,
Le mépris que je leur dévou n’a d’énumération
Mais il y en a un à qui je dispose mon attention :
Sans doute suis-je à jamais cet homme que je hais