Le moment vient ce soir,
De faire place a la sombre verité,
Ou,tu va parcourir les chemin de mon coeur,
Cet humble demeur,
Ou tous les jours je me meurs,
Ou je parcours les chemin sinueux
Que sont la débauche et la souffrance.
Sombre chemin connus,hélas!que par coeur.
Mon esprit,
Fait de mélancolie,
De pleurs,de rires et de cris
T'es ouvert a toi l'ami.
Mes lugubres pensers
Enfin te sont dévoiler
Car l'attente ne les a que trop engrosser,
Enfin au grand jours,
Elles peuvent librement exploser.
Mes sentiments,
Sont jeter au vents
Disperser par dela les continents.
Ce flot d'amour,
Qur ma tendre aimer
COntinue toujours de ce déverser,
A l'en étouffer.
Pour que mes beau jours,
Elle continue d'enchanter.
Ma haine,
Brusquement déferle,
Envers ces damné vil et frèle,
Car de rage,elle est pleine.
Pour que meurt ces infindèles.
Mon indifference
S'envole vers cette chaire a canon
Peuple chaque jours plus morribon
Peuple qu'est la france,
Car,du roi,les bouffons
Peuvent ce compter par million.
Enfin ce moment est passé,
Ce soir pour ne pa laissé place au cafard,
J'ai ecrit ce poeme dérisoire.
De faire place a la sombre verité,
Ou,tu va parcourir les chemin de mon coeur,
Cet humble demeur,
Ou tous les jours je me meurs,
Ou je parcours les chemin sinueux
Que sont la débauche et la souffrance.
Sombre chemin connus,hélas!que par coeur.
Mon esprit,
Fait de mélancolie,
De pleurs,de rires et de cris
T'es ouvert a toi l'ami.
Mes lugubres pensers
Enfin te sont dévoiler
Car l'attente ne les a que trop engrosser,
Enfin au grand jours,
Elles peuvent librement exploser.
Mes sentiments,
Sont jeter au vents
Disperser par dela les continents.
Ce flot d'amour,
Qur ma tendre aimer
COntinue toujours de ce déverser,
A l'en étouffer.
Pour que mes beau jours,
Elle continue d'enchanter.
Ma haine,
Brusquement déferle,
Envers ces damné vil et frèle,
Car de rage,elle est pleine.
Pour que meurt ces infindèles.
Mon indifference
S'envole vers cette chaire a canon
Peuple chaque jours plus morribon
Peuple qu'est la france,
Car,du roi,les bouffons
Peuvent ce compter par million.
Enfin ce moment est passé,
Ce soir pour ne pa laissé place au cafard,
J'ai ecrit ce poeme dérisoire.