Une heure pour des lendemains
Je l'observe, cette douceur me semble si fragile,
Mon amour, mon enfant, ma vie, mon sang,
Cet oiseau aux ailes déployées douces et agiles,
S'envole, apeuré vers ces lendemains naissants,
Je l'aime à en mourir mais comment lui dire,
Les demains sont joyeux ou peut être glissants,
La réussite dans ce monde est un empire,
Parfois une désillusion pour les remplaçants,
Une force émane auréolée de passion, de rage,
Dans la profondeur de ses yeux bleus, violets,
Son avenir se joue en un entretien sur une page,
Tournée vers la fenêtre, elle semble prise au collet,
Je prie, moi sa maman dans cette période de crise,
Moi qui la religion est un sujet hautement tabou,
Il est fou d'imaginer un rejet de sa matière grise,
Pour des lendemains ouverts, touche-à-tout,
Mon cœur bat, j'imagine le sien si petit encore,
Elle qui parle en dormant , fait un discours la nuit,
Pas de repos dans son cerveau, la jarre de Pandore,
Je voudrais une bonne fée sur son sommeil, à minuit.
LILASYS
Lendemains de l'amour !
J'aime ces matins sur ta chevelure blonde,
Tous ces demains qui m'impatientent Amour,
Tes lèvres ardentes que tendresse sonde,
De ma langue taquine à l'aube du jour,
Quand le rai de lumière coquin dessine,
Le galbe d'un sein sous la soie du drap,
Je rêve à tous ces lendemains que je devine,
M'éveiller ma douce princesse Alexandra,
Caresser ta peau de ma main curieuse,
En recherche du Graal pour notre confort,
Parcourir tes jambes qui se font frileuses,
Le temps est la vie, et la vie est un trésor,
Aime-moi! Mon ange, des jours et des lunes,
Dis-moi! des oui, des toujours, des lendemains,
Mêle ta peau à la mienne, même sans fortune,
L'amour est ce cri quand on joint nos mains.
LILASYS
Les deux mains pour les sourds !
Avenir opaque comme lointain paysage,
Horizon de promesses des plus obscurs,
Toile morte d'un éternel et infini voyage,
Lendemains où se calque à nos yeux l'azur,
Certains projets pour des années, des lunes,
Monter aux cieux ou sur des podiums,
Ces rêves soulignés d'une encre d'infortune,
Les cauchemars se parfument d'Opium,
Demains désirés, camouflés sous la brume,
Ceux ignorés, tracent toujours le chemin,
Cœur en bandoulière, tel feu se consume,
Enfants que l'on fit naître, et oubliés en faim,
Nos mains usent les doigts sur la pendule,
Debout, ces nuits perdues, fond de désespoir,
Les hier ? Et encore demain, peur du ridicule,
Monde fou, le drapeau n'est plus l' étendoir,
Avance, on nous tend encore la carotte!
La vraie ambition est liée à nos enfants
L'ignorant sacrifié, vivra en grottes
Leurs veines ligaturées rentrent dans le rang.
LILASYS
Je l'observe, cette douceur me semble si fragile,
Mon amour, mon enfant, ma vie, mon sang,
Cet oiseau aux ailes déployées douces et agiles,
S'envole, apeuré vers ces lendemains naissants,
Je l'aime à en mourir mais comment lui dire,
Les demains sont joyeux ou peut être glissants,
La réussite dans ce monde est un empire,
Parfois une désillusion pour les remplaçants,
Une force émane auréolée de passion, de rage,
Dans la profondeur de ses yeux bleus, violets,
Son avenir se joue en un entretien sur une page,
Tournée vers la fenêtre, elle semble prise au collet,
Je prie, moi sa maman dans cette période de crise,
Moi qui la religion est un sujet hautement tabou,
Il est fou d'imaginer un rejet de sa matière grise,
Pour des lendemains ouverts, touche-à-tout,
Mon cœur bat, j'imagine le sien si petit encore,
Elle qui parle en dormant , fait un discours la nuit,
Pas de repos dans son cerveau, la jarre de Pandore,
Je voudrais une bonne fée sur son sommeil, à minuit.
LILASYS
Lendemains de l'amour !
J'aime ces matins sur ta chevelure blonde,
Tous ces demains qui m'impatientent Amour,
Tes lèvres ardentes que tendresse sonde,
De ma langue taquine à l'aube du jour,
Quand le rai de lumière coquin dessine,
Le galbe d'un sein sous la soie du drap,
Je rêve à tous ces lendemains que je devine,
M'éveiller ma douce princesse Alexandra,
Caresser ta peau de ma main curieuse,
En recherche du Graal pour notre confort,
Parcourir tes jambes qui se font frileuses,
Le temps est la vie, et la vie est un trésor,
Aime-moi! Mon ange, des jours et des lunes,
Dis-moi! des oui, des toujours, des lendemains,
Mêle ta peau à la mienne, même sans fortune,
L'amour est ce cri quand on joint nos mains.
LILASYS
Les deux mains pour les sourds !
Avenir opaque comme lointain paysage,
Horizon de promesses des plus obscurs,
Toile morte d'un éternel et infini voyage,
Lendemains où se calque à nos yeux l'azur,
Certains projets pour des années, des lunes,
Monter aux cieux ou sur des podiums,
Ces rêves soulignés d'une encre d'infortune,
Les cauchemars se parfument d'Opium,
Demains désirés, camouflés sous la brume,
Ceux ignorés, tracent toujours le chemin,
Cœur en bandoulière, tel feu se consume,
Enfants que l'on fit naître, et oubliés en faim,
Nos mains usent les doigts sur la pendule,
Debout, ces nuits perdues, fond de désespoir,
Les hier ? Et encore demain, peur du ridicule,
Monde fou, le drapeau n'est plus l' étendoir,
Avance, on nous tend encore la carotte!
La vraie ambition est liée à nos enfants
L'ignorant sacrifié, vivra en grottes
Leurs veines ligaturées rentrent dans le rang.
LILASYS
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