Je suis pétale de rose qui dort sur la fleur de son cœur
Dans la tendresse de ma racine se trouve la terre de sa source
Dans l’écho sa culture elle devient libre de ma soif
Aux vents de son temps elle s’épanouit sur l’ombre de ma solitude
Au sol de mon eau, elle vague aux champs des mains égarées
À l’entité de mon esprit frissonne l’aurore d’une jouissance, seul à son partage
Sans corps pour la peau de mon âme, elle dort avec le parfum de mes larmes
Aux souvenirs, elle devient vie de pardon
À mon imaginaire elle sera verbe et sans doux zen à mes nuits elle sera mon vœu
À la fleuraison de tes saisons enveloppe moi le nid de ta tige que je puisse pousser avec toi même dans le noir des nuits nous pour pourrons êtres unis sur une étoile d’espoir
À la fenêtre de mon senti je m’endors sur ton nom, à mon réveil l’illusion pleure
Seul avec mon miroir brisé sans reflet je suis perdu dans le Crystal de mes sentiments
Sans cries de mon itinérance avec un portefeuille sans feuilles a son printemps ce trouve caché au fond de mon horizon une photo de toi pour ne pas oublier ou ce trouve le bonheur
À mon erreur s’en grave une poésie perdue dans l’oubli de son livre et la lumière brule les mots de mon verbe
Au chevet de mon tableau se trouve la chandelle de mon temps qui se consume sans être
Dans la tendresse de ma racine se trouve la terre de sa source
Dans l’écho sa culture elle devient libre de ma soif
Aux vents de son temps elle s’épanouit sur l’ombre de ma solitude
Au sol de mon eau, elle vague aux champs des mains égarées
À l’entité de mon esprit frissonne l’aurore d’une jouissance, seul à son partage
Sans corps pour la peau de mon âme, elle dort avec le parfum de mes larmes
Aux souvenirs, elle devient vie de pardon
À mon imaginaire elle sera verbe et sans doux zen à mes nuits elle sera mon vœu
À la fleuraison de tes saisons enveloppe moi le nid de ta tige que je puisse pousser avec toi même dans le noir des nuits nous pour pourrons êtres unis sur une étoile d’espoir
À la fenêtre de mon senti je m’endors sur ton nom, à mon réveil l’illusion pleure
Seul avec mon miroir brisé sans reflet je suis perdu dans le Crystal de mes sentiments
Sans cries de mon itinérance avec un portefeuille sans feuilles a son printemps ce trouve caché au fond de mon horizon une photo de toi pour ne pas oublier ou ce trouve le bonheur
À mon erreur s’en grave une poésie perdue dans l’oubli de son livre et la lumière brule les mots de mon verbe
Au chevet de mon tableau se trouve la chandelle de mon temps qui se consume sans être
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 8/9/2008 21 h 37 min 7 s
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