Elle ondulait seule sur une eau peu profonde
Rien n’osait déranger sa nage vagabonde,
Sur les rives d’un lac où le silence abonde
Elle s’approchait du sol, voulait finir sa ronde.
Elle semblait si frêle, de toute légèreté
À peine courbée, vers le ciel elle pointait
De saine pureté elle s’était imprégnée
Et sur des chemins parés elle allait régner.
Reine couronnée de bleu sur un trône blanc,
Elle ancre les lignes d’ouvrages, de romans
Poésies ou fables, maitresse des tourments,
Amie de timides esquisses et de savoirs grands
Chatouilleuse parfois, reposante à plusieurs
Elle est plus qu’une fois serviable et de bon cœur
Volée ou offerte par un cygne chanteur,
Arrachée à des oies les privant de pudeur
Elle est l’emblème des troubadours, des poètes
Écrivains, faiseurs de discours, de sa conquête
Ils ont écrit et nous continuant cette quête
Sans elle car aujourd’hui la plume est dans nos têtes.
Rien n’osait déranger sa nage vagabonde,
Sur les rives d’un lac où le silence abonde
Elle s’approchait du sol, voulait finir sa ronde.
Elle semblait si frêle, de toute légèreté
À peine courbée, vers le ciel elle pointait
De saine pureté elle s’était imprégnée
Et sur des chemins parés elle allait régner.
Reine couronnée de bleu sur un trône blanc,
Elle ancre les lignes d’ouvrages, de romans
Poésies ou fables, maitresse des tourments,
Amie de timides esquisses et de savoirs grands
Chatouilleuse parfois, reposante à plusieurs
Elle est plus qu’une fois serviable et de bon cœur
Volée ou offerte par un cygne chanteur,
Arrachée à des oies les privant de pudeur
Elle est l’emblème des troubadours, des poètes
Écrivains, faiseurs de discours, de sa conquête
Ils ont écrit et nous continuant cette quête
Sans elle car aujourd’hui la plume est dans nos têtes.
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