Ce n’est pas Toi qui me fais la cour
Ni qui m’es destiné à la fin de mes jours
Ce n’est pas Toi qui m’enlèves un soupire
Ni qui m’apportes la magie d’un fou rire.
Ce n’est non plus Toi l’essence de mon printemps
Ni celui qui me tient la main de temps en temps
Ce n’est non plus Toi qui m’appelles avant de dormir
Ni de mes pleurs m’aides à m’enfuir.
Par contre tu restes celui qui m’obsède
L’homme auquel je ne cède
Par contre c’est Toi que pauvre moi aime
Toi, celui qui me refuse le « Je t’aime ».