SUR LA PLACE DE LA GARE
C’était un beau jour d’avril,
Sur la place de la gare,
Nos destins se sont croisés,
L’un à côté de l’autre,
A la colline aux oiseaux,
Nous nous sommes promenés.
Ton regard et ton sourire ont su me charmer,
Puis au soleil de notre rencontre,
Nous avons fugué à St-Mâlo,
A la plage, j’ai senti ta main sur mon épaule,
Et ta main frôlant la mienne,
Sous un petit coin de parapluie,
Nous avons appris à être heureux malgré la pluie.
Je t’aime avec tes petites lunettes,
Tu es mon maître, et je suis ton élève,
Je ne me lasse pas de t’écouter.
Puisque beaucoup de tes pensées rejoignent les miennes,
Dans tes bras, je m’abandonne.
Ils sont tendres et rassurants,
Le petit bouchon, comme tu m’appelles,
Pétille d’amour sous tes yeux charmeurs.
A l’hôtel à Cancale,
Le flot des vagues a bercé nos premières étreintes.
Comme un cadeau du ciel,
Tes mains douces, calmes, adolescentes,
Ont su réveiller mon corps de femme,
La mer bleue presque transparente,
Emportait avec elle,
Mes angoisses et mes craintes,
Comme je voudrais que ces doux moments soient éternels.
Mais comme un homme raisonnable,
Tu pars vers tes obligations,
Qu’il est difficile de se séparer, mon amour.
C’était un beau jour d’avril,
Sur la place de la gare,
Nos destins se sont croisés,
L’un à côté de l’autre,
A la colline aux oiseaux,
Nous nous sommes promenés.
Ton regard et ton sourire ont su me charmer,
Puis au soleil de notre rencontre,
Nous avons fugué à St-Mâlo,
A la plage, j’ai senti ta main sur mon épaule,
Et ta main frôlant la mienne,
Sous un petit coin de parapluie,
Nous avons appris à être heureux malgré la pluie.
Je t’aime avec tes petites lunettes,
Tu es mon maître, et je suis ton élève,
Je ne me lasse pas de t’écouter.
Puisque beaucoup de tes pensées rejoignent les miennes,
Dans tes bras, je m’abandonne.
Ils sont tendres et rassurants,
Le petit bouchon, comme tu m’appelles,
Pétille d’amour sous tes yeux charmeurs.
A l’hôtel à Cancale,
Le flot des vagues a bercé nos premières étreintes.
Comme un cadeau du ciel,
Tes mains douces, calmes, adolescentes,
Ont su réveiller mon corps de femme,
La mer bleue presque transparente,
Emportait avec elle,
Mes angoisses et mes craintes,
Comme je voudrais que ces doux moments soient éternels.
Mais comme un homme raisonnable,
Tu pars vers tes obligations,
Qu’il est difficile de se séparer, mon amour.