Comme une mère, la nature l'avait créée.
C'était un jour de printemps où le soleil se lève.
A ce moment on peut la voir illuminer,
Cette petite fleur qui de la terre s'élève.
Je n'avais jamais vu une fleur aussi pure que celle-là.
Peu de gens remarquaient cette fine tige dorée
Qui ne savait penser ni se demander "pourquoi?".
Pourtant elle poursuivait son petit comte de fée
Sans se soucier de ce que disaient les autres voix.
Je n'avais jamais vu une fleur aussi pure que celle-là.
Elle n'avait pas put se relever,
Et ses yeux ne s'ouvrirent pas
Lorsque (de ses racines) on l'a arrachée.
Elle vit maintenant sans toi.
Je ne vois maintenant qu'une fille qui pleure.