Je sens mon cœur s’arracher à la terre
A chaque battement c’est mon âme qui meurt
Dans une douce torpeur, désœuvrée, je me perds
Lentement j’efface de ma vie les couleurs
Ces quelques pleurs, de lui me libèrent
Mais je ressens encore sa chaleur
Rien qu’un peu de douceur, une étreinte éphémère
Un rien de tendresse me rendrait le bonheur
A chaque battement c’est mon âme qui meurt
Dans une douce torpeur, désœuvrée, je me perds
Lentement j’efface de ma vie les couleurs
Ces quelques pleurs, de lui me libèrent
Mais je ressens encore sa chaleur
Rien qu’un peu de douceur, une étreinte éphémère
Un rien de tendresse me rendrait le bonheur