Brouille dans le sens de nuage
En me quittant, tu t'es perdu dans les brouilles du temps ,
Me laissant seule ,abandonnée à mes sentiments
Je t'aime et t'aimerais le reste de la Vie
Pourquoi , pourquoi, dis - moi es-tu parti?
Tu as fait promesse, que notre relation jamais ne cesse ,
Des bougies, j'en ai allumé sans cesse,
Mais tu as pris les nuages et tu t'es envolé
Sanstoi le vie est sombre ,j 'ecoute ton microsillon prefere,
Je n'entends plus du clocher , la cloche sonne.
Tu disais sue le noir etait seyant ,c'est mon âme qui porte le deuil,
Je traine les pantoufles aux pieds lorgnant au jardin ton ami écureuil,
Lui aussi a maigri, il ne mange plus de noisettes,
Il laisse comme moi, pleines les assiettes
Le silence règne dans la maison, je suis perdue face au néant
Les enfants vont bien, n'est sous pas inquiets
Mais tes petits fils réclament leur Pepe
Leur racontant ton voyage, un départ improvisé
Pour aller chez les *Reposables* tu souffrais tant cette annee,
Je reste allongée le matin , le visage dans les mains,
Nous revoyant corps contre corps , et je t'entends me dire *encore*.
Il est parti et quoique je fasse , rien , ni personne, ni mon chagrin
Le fera revenir, peut-être est-il heureux
parmi l'agneau et le seraphin
Ne croyant pas au salut de l'âme ,ni aux Dieux,
Qui me dit que là-haut , un homme ne l'a pas fait ,* Bete a Bon Dieu*..***
.
*** la bête à bon dieu est une coccinelle
Live
En me quittant, tu t'es perdu dans les brouilles du temps ,
Me laissant seule ,abandonnée à mes sentiments
Je t'aime et t'aimerais le reste de la Vie
Pourquoi , pourquoi, dis - moi es-tu parti?
Tu as fait promesse, que notre relation jamais ne cesse ,
Des bougies, j'en ai allumé sans cesse,
Mais tu as pris les nuages et tu t'es envolé
Sanstoi le vie est sombre ,j 'ecoute ton microsillon prefere,
Je n'entends plus du clocher , la cloche sonne.
Tu disais sue le noir etait seyant ,c'est mon âme qui porte le deuil,
Je traine les pantoufles aux pieds lorgnant au jardin ton ami écureuil,
Lui aussi a maigri, il ne mange plus de noisettes,
Il laisse comme moi, pleines les assiettes
Le silence règne dans la maison, je suis perdue face au néant
Les enfants vont bien, n'est sous pas inquiets
Mais tes petits fils réclament leur Pepe
Leur racontant ton voyage, un départ improvisé
Pour aller chez les *Reposables* tu souffrais tant cette annee,
Je reste allongée le matin , le visage dans les mains,
Nous revoyant corps contre corps , et je t'entends me dire *encore*.
Il est parti et quoique je fasse , rien , ni personne, ni mon chagrin
Le fera revenir, peut-être est-il heureux
parmi l'agneau et le seraphin
Ne croyant pas au salut de l'âme ,ni aux Dieux,
Qui me dit que là-haut , un homme ne l'a pas fait ,* Bete a Bon Dieu*..***
.
*** la bête à bon dieu est une coccinelle
Live
Dernière édition: