Perdre un enfant
Perdre un enfant est cruel
C'est le soleil qui s'en va
Le chagrin est éternel
Accompagnant tous les pas
C'est le cœur qui se déchire
Allergique aux pansements
C'est l'âme qui goûte au pire
D'un atroce sentiment
Ce sont les pensées meurtries
Qui envahissent la tête
La guerre des insomnies
Le silence hurle à tue-tête
Perdre un enfant c'est certain
C'est la douleur qui égare
Présente soir et matin
Imprimée dans le regard
Ce sont les journées ardoise
Sans sourire sans passion
Pleurs et vide s'entrecroisent
Sous le flot de l'émotion
C'est une absence imposée
Plus rien n'a de l'importance
Mais pourtant il faut penser
À poursuivre l'existence
Et surtout aux autres enfants
Qui ont besoin d'amour fou
Pour caresser leurs tourments
Par des mots, des gestes doux
Perdre un enfant est cruel
C'est le soleil qui s'en va
Le chagrin est éternel
Accompagnant tous les pas
C'est le cœur qui se déchire
Allergique aux pansements
C'est l'âme qui goûte au pire
D'un atroce sentiment
Ce sont les pensées meurtries
Qui envahissent la tête
La guerre des insomnies
Le silence hurle à tue-tête
Perdre un enfant c'est certain
C'est la douleur qui égare
Présente soir et matin
Imprimée dans le regard
Ce sont les journées ardoise
Sans sourire sans passion
Pleurs et vide s'entrecroisent
Sous le flot de l'émotion
C'est une absence imposée
Plus rien n'a de l'importance
Mais pourtant il faut penser
À poursuivre l'existence
Et surtout aux autres enfants
Qui ont besoin d'amour fou
Pour caresser leurs tourments
Par des mots, des gestes doux
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